« … A-... Arrrg.. »

Lizbeth ramena sa main contre sa poitrine, poing fermé.

« Tss... Again... »

Devant la jeune femme se tenait une table basse noire en verre, sur lequel était posé un pot avec des fleurs violettes ainsi qu'un petit tapis en soie blanc sur lequel disposait un collier en argent. Ce dernier était composé d'une chaîne et d'un pendentif rond, simple, avec une pierre rouge à l'intérieur. En somme, rien de bien anormal jusque-là...
Elle tendit à nouveau sa main, tremblant légèrement. Et au moment où elle toucha le bijoux, elle sentit comme une brûlure, un rejet soudain, comme électrique, accompagné d'un TCHAC ... Cela procura alors une forte douleur dans les doigts de la jeune femme qui retira immédiatement sa main, à nouveau...

« It can't be... There is something wrong with this necklace »

Elle finit par recouvrir le collier du tapis en soie, étant le seul moyen pour elle de le transporter... Quoiqu'il arrivait, elle ne pouvait toucher cet objet. C'était impossible ! Pour le déplacer elle devait le tenir avec un tissu ou des gants à la limite... Mais à mains nues, c'était la décharge assurée. Déjà, ses bouts de doigts avaient une légère teinture violette, comme s'il y avait eu un bleu trop important sur la peau tellement elle avait essayée...
Elle finit par aller remettre le bijoux dans une boîte en bois, qu'elle laissait dans son salon. Une fois remis à sa place, Lizbeth la fixa. Comme si rien n'allait. Elle restait là pendant 10 minutes à fixer le collier emprisonné pour finalement lui faire dos et aller se faire un bon thé...

Elle réfléchit pendant de longues minutes, voir même pendant une bonne journée... Elle ne comprenait juste pas. Comment cela était-il possible ?
Elle tournait souvent en rond dans son salon, tasse de thé à la main qu'elle laissait refroidir tellement elle ne pensait plus à le boire... Elle avait pensé à toutes les possibilités : allergies (inexistante), magie (possible), protection (encore possible)... Et bien d'autres. Mais c'était bien beau d'avoir des suppositions sans savoir réellement d'où cela venait ! De plus, Lizbeth ne tiendrais pas une journée de plus sans savoir ce qui diable, l'empêchait de porter le bijoux !
C'était décidé, elle allait en parler autour d'elle. Ce mystère ne devait plus durer.

Avec détermination, Lizbeth avait finalement pris contact avec un consultant qui passait par la ville d'Old Fyre. Elle ne le connaissait pas, c'était la première fois qu'elle le voyait et qu'elle entendait parler de lui... Mais elle était si désespérée que même si un ours lui aurait expliqué la solution elle y serait allée tête baissée !

Elle s'était rendue alors au point de rendez-vous qui se trouvait non loin du centre. Un peu éloigné, de sorte à ne pas trop être au milieu des foules etc. La jeune femme avait pris soin de prendre la boîte en bois avec elle au cas où il fallait une quelconques preuve.
Une fois sur place, elle retrouva un homme trapus, cheveux blancs dût à l'âge, qui portait une tenue entièrement en cuir noir. Avec plusieurs colliers autour du cou, de grosses bottes ainsi que de nombreuses bagues... Ses cheveux étaient courts, et il avait aussi une longue barbe tout aussi clair qui lui touchait la clavicule lorsqu'il parlait. Il était accompagné d'un grand sac à dos marron qui semblait bien remplie. Il l'attendait, là, en fumant une cigarette :

« Sooo... It's you ! How can I help you ? I heard it's about an emergency ? You're quite lucky  ! I was just travelling and my journey came to an end here at Old Fyre... »

La jeune femme, qui n'avait pas manqué encore une fois de prendre soin de son physique, se tenait droite et leva la tête. Elle tenait dans ses deux mains la boite qu'elle n'ouvra pas pour le moment.

« Hi. Yes, I was looking for someone. I'm completly confused about some necklace : it's been a few days already, and I just... Can't touch it ! It's impossible ! I feel like a... A painful rejection ? And I was wondering if this jewellery was cursed or something... I feel a strange power from it and an atraction. But I haven't found anything... I need help »

L'homme tira une bonne latte avant de souffler toute la fumée qu'il avait emmagasinée. Il baissa les yeux vers la boîte, devinant que l'objet se trouvait dedans.

« I'm sorry my lady, but THIS is not of my skills... I believe that... Yes it's completly possible. You have found a strange artefact ! Dark and powerful... I can sence his power from here. You don't even need to show me that necklace.... »

« So... Do you know someone who can help me then ? »

Il fuma à nouveau, laissant un petit blanc en guise de réponse, avant de faire claquer sa langue :

« … Maybe the SEE... Hmm... Yes ... » Il ne répondait en fait pas vraiment à Lizbeth et se parlait surtout à lui même.

« The SEE ? »

« Yeah... Don't worry it's juste a team, they know what they're doing ... There is professional about artefact and... All that stuff... » Il avait eu un petit sourire en coin suite à sa phrase qui ne rassura pas vraiment Lizbeth, mais c'était la seule piste qu'elle avait ! « Can you let me your number ? I will let them contact you ! »

« Sure... » 

Ils échangèrent alors leurs numéros, laissant ensuite l'entretien se terminer un peu brutalement. Lizbeth remercia l'homme et ce dernier retourna à ses affaires, sans plus.
La jeune femme avait alors décidé de rentrer chez elle et... d'attendre. Elle se sentait joyeuse mais aussi déçue. Elle avait cette impression qu'au final, elle n'avait pas avancé d'un pouce. Retour à la case départ, dans son salon à observer la boite qui contenait ce bijoux qu'elle ne pouvait pas toucher. Elle resta un moment ainsi, assise et bras croisé sur son canapé.


Lizbeth n'avait pas dormis de la nuit, quelques peu impatiente de recevoir des nouvelles. Et cela arriva plus vite qu'elle ne l'aurai crus ! Son téléphone se mit à biper, annonçant qu'elle venait de recevoir un message :


Lizbeth fixa le message. Numéro inconnus, pas de bonjour, ni d'informations outre l'essentiel... La jeune femme pris une grande inspiration. Ca y est, elle allait enfin savoir ce que ce collier cachait.
Sans plus tarder elle alla se mettre en route pour Pragues. Heureusement que sa famille était plus ou moins aisée, et qu'elle pouvait facilement sortir de l'argent...


Une fois arrivée à Pragues, il faisait nuit, laissant ainsi les lampadaires éclairer les rues et ruelles ci et là. Il faisait bon et les rues étaient encore remplies de gens. Lizbeth regarda son téléphone : 21h40. Il était presque l'heure. Grâce au Gps, elle réussit à trouver facilement l'endroit indiqué : un bar qui se nommait "Beer and snow".
Le bâtiment était accessible via quelques petites ruelles piétonnes. Il était comme caché, et les passants qui se trouvaient dans la grande rue, n'avait alors aucune idée qu'un bar se trouvait là. Le lieu-dit était assez petit, laissant peut être une vingtaine seulement de tables à disposition. De ce qu'elle en voyait de l'extérieur, il n'y avait pas grand monde... Juste deux personnes qui semblaient boire leurs bièrres tranquillement.
La jeune femme, habillée de noir tout entière, entra dans le bâtiment, laissant alors son parfum de lilas la suivre. Elle portait une simple chemise noire légèrement transparente, des gants en velours et un pantalon en cuir. Une fois dedans, elle alla voir le barman qui était là à essuyer ses verres déjà propres et sec...

“Can I have a coffee please ?”

Le barman leva les yeux, la regarda et fit un oui de la tête. Ce dernier, chauve, gras et petit semblait ennuyé de par son travail... Il lui montra alors d'un coup de tête une table vide sur laquelle elle pouvait s'installer.
Lizbeth le remercia et alla s'asseoir.
Elle regarda son téléphone à nouveau : 22h00...

Ambrose, malgré toutes les foutues situations dans lesquelles il a l’art de se foutre, se sent un peu pantois de la requête que lui partage Sandro depuis le confort de leur appartement situé deux continents plus loin. La demande, en soi, n’a rien de particulièrement hors du commun et consiste en l’analyse d’un bijou enchanté qui poserait –apparemment, évidemment– problème à son propriétaire. Non, ce qui le perturbe s’avère être que Dakota – ce contact douteux qui ne connait ni l’identité de SEE, ni les visages d’Ambrose et Sandro – ait jugé bon de leur recommander une cliente provenant directement de l’Ordre sans le moindre préambule.

Ça lui semble maladroit et il patauge dans les lignes de texte rameutées à son téléphone, en contemplant la possibilité de rejeter le contrat et rayer Dakota de manière permanente de la liste de ses contacts. Au vu des informations que lui a transmises son cher monsieur Valencia, la chevalière en question est une jeune pousse ayant récemment intégré l’Ordre de manière officielle pour reprendre le flambeau de ses parents. S’agit à priori d’une gamine suffisamment naïve pour avoir jugé bon de faire affaire avec Dakota plutôt qu’avec l’un des spécialistes de l’Ordre.

Ambrose ne la pressent pas être quelqu’un de très impressionnant. Et c’est sur cette préconception arrogante qu’il base sa décision finale. Il lui balance un texto, informel, impersonnel, et décide de la laisser se démerder avec. Advienne que voudra.

-

Il attend, prostré dans un coin du bar, verre – tristement dépourvu d’alcool – à la main. Le Beer and Snow est cet endroit un brin trop rabougri pour ses goûts personnels, le genre de lieu qui laisse la poussière engluer vos doigts lorsque vous les passez dans des recoins trop sombres. C’est aussi le genre d’endroit dans lequel le barman vous regarde de travers lorsque vous commandez une boisson qui n’est pas de la bière et qui se racle la gorge avec mépris lorsque vous ajoutez, à la manière d’une arrière-pensée, que vous voulez votre commande sans alcool.

Ses cheveux sombres ont été ramenés en un chignon malmené qui a tendance à s’affaisser bêtement et qu’il est en train de rajuster lorsqu’il la remarque entrer. Il termine son mouvement et se glisse dans la chaise à sa droite pour mieux pouvoir l’observer sans attirer l’attention. Sa silhouette correspond aux clichés que Sandro lui a partagés et il se complait dans le fait que la base de données de l’Ordre lui soit aussi facilement accessible. Tout ce qui est informatisé peut être dérobé par la dextérité de Sandro et lui appartient par association.

Elle s’appelle Lizbeth et elle commande un café. Ambrose devine la lassitude qui croît dans l’âme du barman et ça lui arrache un sourire. Décidément, ils ne rendent pas sa soirée particulièrement agréable en lui demandant de réaliser des recettes dans lesquelles il n’a pas dû fourrer ses pattes depuis au moins trois mois.  

Discrètement, usant d’un dispositif temporaire, il pianote un sms à l’intention de sa cliente.

“ Do you have the money ? If the answer is yes, come find me. I am watching. ;) “

Vrrrr...

Le téléphone de Lizbeth vibra et elle regarda alors le contenue du message qui s'affichait. La personne qui l'attendait était déjà sur place. Elle leva son regard, observant ainsi la pièce. Il n'y avait que trois personnes devant elle... Le barman, un homme aux cheveux noirs attachés en un chignon et un autre homme qui accumulait sa troisième pinte. La jeune femme se demanda si la personne pouvait aussi attendre dehors ? Et finit par tourner la tête vers l'extérieur et regarda à travers une fenêtre. Mais le dehors était vide, ne laissant que le trottoir, la rue et les poubelles faisant partis du décors.
A ce moment-là, le barman finit par appeler la jeune femme :

« Hey... ! » Pesta-t-il dans un claquement de langue. « Your coffee miss... »

Le café était prêt, posé sur le bar. La jeune femme supposa alors que l'homme ne viendrait pas lui apporter sa boisson. Soupirant légèrement, elle se leva et alla chercher la tasse blanche qui laissait échapper un filet de fumée au-dessus d'elle.

« Thanks... »

Une fois le café dans ses mains, la jeune femme tourna la tête vers les deux hommes de la salle... Elle finit par se diriger vers celui aux cheveux longs... Elle supposait que l'autre n'était là que pour oublier ses pensées dépressives dans l'alcool. Il n'avait « pas la tête du client » comme on pourrait dire... Et lorsqu'elle passa à côté de ce dernier, sa tête tomba en avant, se cognant alors contre la table. Il roupillait debout. La jeune femme avait alors tourné la tête vers lui, arquant un sourcil. Si au bout de 3 verres ce dernier tombait, c'est que soit il se sentait très mal, était très fatigué ou alors était très fragile à l'alcool... Elle finit par l'ignorer, se disant qu'il ne restait bien qu'une personne qui pourrait être celle qui pourrait l'aider.

Elle arriva au niveau de la table de l'homme et vint s'asseoir en face de lui, posant sa tasse sur la table. La jeune femme regarda la personne en face d'elle et se demanda comment mettre en place les choses... Devait-elle d'abord donner l'argent sans rien dire ? Se présenter ? Parler du sujet... ? Elle déglutit et finit par parler :

« Are you the one who's watching ? »

Elle avait, ligoté à sa ceinture, une petite pochette dans laquelle on met habituellement les bijoux. Celle-ci était en velours noir et contenait le fameux collier que Lizbeth ne pouvait pas toucher. L'argent, était dans sa poche, mit dans une enveloppe soigneusement fermé. Elle finit par sortir cette dernière, la mettant alors à côté de son café, la tendant vers l'homme.
Elle en profita aussi pour prendre une gorgée de son café, tenant la tasse du bout des doigts. La boisson était fade, sans goût. Digne du bâtiment dans lequel elle était. Déjà qu'elle n'aimait pas trop le café, mais alors là c'était du pur jus de chaussette...
Lizbeth reposa alors sans regret la tasse et se dit qu'elle laisserait son contenue ainsi...

Elle s’approche, dans son armure de velours, armée d’une ingénuité acérée qui vient appuyer sur les commissures souriantes des lèvres d'Ambrose. Ayant dégagé, d’un revers de déduction sommaire, les quelques âmes qui la séparait de SEE, elle peut maintenant contempler le faciès du professionnel dont elle requiert maladroitement les services. Habillé d’une chemise sombre à motifs floraux discrets, ainsi que d’un pantalon de velours clair, Ambrose s’est vaguement amusé à se donner des airs de vampire déglingué. Une cravate victorienne est nouée autour de son cou et il la touche, du bout des doigts, lorsqu'il lève un sourcil pour accueillir la jeune chevalière. Il prétend flirter les décennies, savourant l’anachronisme fleurissant de son existence pour déformer les repères visuels susceptibles d'influencer la perception qu'on se fait de lui. Il se veut intemporel et il contemple Lizbeth avec une expressivité qu'il imagine millénaire. Son sourire de miel est une invitation.

Plus loin, le barman renâcle en les contemplant, se perdant assurément au cœur d’une médisance dont ils sont les acteurs principaux.

Décidément, tout ce fiasco a le don de lui foutre la bonne humeur. Cela lui donne presqu’envie de faire preuve d’un brin de pitié à l’égard de Dakota. Presque. Il sait, toutefois, qu'il ne peut tolérer la présence d'un contact aussi peu discret au cœur de son répertoire. S'il est habitué de côtoyer les misères et les déboires, ce n'est pas le cas de Sandro, pas le cas de beaucoup des contacts notables de son réseau. Dakota représente un élément à éliminer, à faire disparaître. Pour le bien de la majorité et particulièrement celui de son partenaire.

Heureusement pour eux, l'affaire actuelle n'implique, à priori, rien de grandement dangereux. Rien qu'Ambrose ne puisse aviser par un destin similaire à celui qu'il réserve à Dakota si l'occasion le demande. Il cligne des yeux , sourire toujours en place et incline la tête à l'intention de sa cliente. À une question s'impose une réponse.

“ Perhaps I am. ", roucoule-t-il doucement, en portant son verre à ses lèvres.

Elle n'attend pas une confirmation concrète et Ambrose se voit à nouveau éberlué par la naïveté à laquelle il se heurte. Sans préambule autre qu'une question ouvrant la porte à maintes réponses vagues, Lizbeth glisse une enveloppe dans sa direction. Il la récupère cérémonieusement, glissant ses ongles peints le long du textile poreux. Son examen du contenu, bien que bref, s'esquisse comme un spectacle mesuré durant lequel il compte minutieusement l'argent sous le regard fauve du barman.

Il fait disparaitre l'enveloppe sous les replis de sa chemise et dévoile ses canines.  

" So, pray tell, why are you here again ? "

Lizbeth ne s'attendait pas à une telle élégance venant d'un homme. Elle se surpris elle-même à être même attirée physiquement de par l'aura que dégageait l'homme et de par son goût vestimentaire... Elle déglutit, voulant rester professionnelle et ne laissa pas son cerveau s'engluer dans le vice de l'attirance. Même si son sourire et son regard étaient d'un captivant qu'elle n'avait jamais rencontré. Dans son habitude, les hommes étaient musclés ou fins, cheveux courts, en bataille, un air plutôt lambda et habité d'une justice... Du moins, c'était ceux qu'elle avait côtoyée dans les rangs des chevaliers... La, elle avait l'impression que la personne en face d'elle n'appartenait à aucune case qui aurait pus donner une idée de la personne. S'en était presque intriguant.
Venant papillonner des yeux pour se remettre les idées en place, elle baissa puis remonta le regard vers l'homme, si sûr de lui. Elle détacha la pochette dans laquelle se trouvait l'étrange bijoux et le mit sur la table. Néanmoins, contrairement à l'enveloppe, elle garda l'objet sous sa main. De son autre, la jeune chevalière vint touiller la cuillère qui trempait dans son café amer et sans goût. Peut-être qu'avec un peu de sucre il serait meilleur, mais rien ne lui tentait pour le moment...

« Because of this. » Elle tourna la pochette grâce à ses doigts en même temps qu'elle tournait sa main, pour avoir la paume vers le ciel.

Lizbeth finit par descendre son regard vers l'objet maudit. Elle se demandait vraiment si c'était juste une simple malédiction qui prendrait quelques minutes à être débarrassée, ou bien est ce qu'ils allaient faire face à une magie bien plus forte, imposante et dangereuse... ? Toutes ses questions tournaient dans sa tête et elle allait enfin avoir une réponse...

« Inside there is a necklace. In silver. I just... Can't touch it. All the time, I have a painful rejection with it. I really think this jewellery is cursed or something... » Elle fit une petite pause puis plongea son regard dans celui de l'homme « I feel a strange power from it and an atraction... It's really weird and... I wanna know what's really inside this necklace... »

La jeune chevalière finit par poser la pochette devant son café, entre les deux protagonistes. Et en effet, elle sentait une attraction envers cet artefact. Elle voulait le posséder et ne voulait pas le partager. Comme si cette chose ne devait que lui appartenir. De plus, l'énergie qui en sortait l'obnubilait.

Pourtant, Lizbeth n'était pas du genre à vouloir posséder des choses et est même à vouloir partager ce qu'elle a... Cet objet n'était pas naturel.