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Berlue imprévue

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Jeu 18 Fév - 18:53

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Eliza Nekkers

Eliza Nekkers
Ah, l’Alaska. Ses belles montagnes, ses beaux paysages enneigées, ses nuits d’idylles glacées. Pourquoi Eliza était venue s’y perdre ? Initialement, une visite plus ou moins amicale. Plus ou moins, parce qu’elle avait effectivement été appelée à la rescousse par une amie, qui avait besoin de son aide. Alexis, son amie, voulait retirer des arbres de son jardin, trop proches de la maison, et dont les branches et les racines commençaient à devenir gênantes. Mais c’était sans compter sur les quelques fées qui avaient élu domicile là, et qui n’étaient pas du tout d’accord avec la décision de retirer l’arbre qu’elles habitaient.

Protectrices, elles faisaient systématiquement en sorte qu’Alexis ne puisse atteindre l’arbre. Alors elle finit par appeler Eliza à la rescousse. Elle savait qu’elle aimait les affaires un peu étranges, les histoires inexplicables - qui au final trouvaient toujours une explication. Eliza n’avait pas pris beaucoup de temps à comprendre ce qu’il se tramait. Par contre, elle avait un peu peiné à réussir à avoir les fées dans la poche - pas littéralement - parce qu’elles étaient vraiment très méfiantes.

Elle mit plusieurs jours à réussir à trouver un terrain d’entente. Mais elle finit par régler l’affaire, en leur promettant que pour l’arbre retiré, deux nouveaux allaient être plantés. Et il fallait en planter un avant de retirer celui déjà en place… Mais soit. C’était la condition, et de toute manière, Alexis avait prévu de réorganiser son jardin et de replanter des choses.

Eliza était censée simplement repartir, une fois cela fait. Mais évidemment, rien ne se passe jamais comme prévu, spécifiquement quand on est aussi curieux-se que la jeune femme. En l’occurrence, alors qu’elle allait repartir, elle eut la sensation que quelque chose d’étrange se passait dans une ville dans laquelle elle passait pour retourner vers l’aéroport. Alors elle se retrouva à s’arrêter et aller se renseigner. Elle laissait volontairement traîner ses oreilles, laissant les informations venir à elle et à son sourire chaleureux et amical.

« Faites attention à vous, ma p’tite dame. ‘Devriez pas rester ici. »

Un vieil homme l’avait interpellée depuis sa fenêtre. L’air froid de février poussait la demoiselle à chercher une auberge, ou un hôtel, n’importe où pour dormir. Et accessoirement pour boire un verre ou un café parce que si elle avait la bonne idée de rester un peu trop longtemps dehors, elle allait finir par y laisser ses doigts.

« Ah ? Pourquoi ça ? demanda-t-elle en levant la tête.
- Z’ont déterré des trucs. Si vous êtes superstitieuse, ‘feriez mieux d’partir. »


Toujours avec son sourire sur ses lèvres, la jeune femme réfléchissait rapidement. Rester naturelle. Elle secoua la tête légèrement et haussa les épaules.

« Ne vous inquiétez pas pour moi, je suis journaliste, j'ai l'habitude. Je suis là pour parler de ce qu’il se passe, ici. »

Tout ce qu’elle avait saisi dans une bribe de conversation entre deux personnes qui semblaient être des voisins, c’était que depuis qu’ils avaient découvert cet ancien fort amérindien, il se passait des choses bizarres. Apparemment, des gens devenaient fous. D’ailleurs elle avait croisé quelqu’un qui lui avait demandé, en la croisant, la raison pour laquelle un cygne brun la suivait. Intriguée, elle avait regardé derrière elle. Elle avait surveillé. Mais aucun oiseau des eaux ne la suivait, ni de près ni de loin.

Elle resta trois jours, pour glaner des informations çà et là avant d’appeler l’Ordre. Elle ne pouvait pas régler cela seule. D’autant plus que pour le coup, personne ne lui avait demandé de venir voir ce qu’il se tramait, donc elle n’avait aucune autre raison de mettre son nez dans cette affaire que sa curiosité insatiable et le fait qu’elle était là, après tout. Mais elle était à peu près certaine d’avoir besoin d’un coup de main, alors au bout du troisième soir, rentrant d’une petite expédition, elle appela le numéro qu’elle pouvait contacter facilement en cas de souci. Ou, en l’occurrence, d’informations.

Elle expliqua ce qu’elle soupçonnait. Des hallucinations, a priori visuelles notamment. Il y avait une chance pour que ce soit liée à un élément naturel autour de la ville, mais puisque cela semblait s’être déclenché avec la fouille d’un nouveau ancien fort (oui) elle suspectait un lien magique. Et puisqu’elle n’avait pas les moyens de se débrouiller seule, elle sollicitait leur aide, et elle leur indiqua son nom d’emprunt : Rosa Winston.

Elle espérait simplement que l’aide ne tarderait pas trop. Elle continuait d’enquêter, mais actuellement… Elle n’avait rien à la clé, à part la satisfaction d’avancer. Enfin pour le coup elle patinait un peu, puisque entre le cygne brun, l’ours et l’essaim d’abeille - en plein hiver ? - qui semblaient étonner les gens, elle commençait à avoir une petite foule imaginaire qui la suivait. Entre ça et les gens qui commençait à s’accuser de faire des choses qui n’avaient ni queue ni tête - quelqu’un avait accusé sa collègue d’avoir rendu son canard en bois vivant et qu’il s’était donc envolé - elle allait devoir rapidement trouver ce qui causait ce tohu-bohu.
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Jeu 25 Fév - 3:48

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Nawar Nasri

Nawar Nasri
J’avalais les kilomètres à travers la poudreuse tout en avalant quelques biscuits secs confectionnés par Marjan et qui ne m’étaient pas destinés à la base : ces petits biscuits étaient la première pièce d’un vaste plan intitulé « séduction de Maman Thorne pour obtenir un chien ». Mais à peine avais-je mis un pied dans l’avion que le plan tombait déjà à l’eau : il y avait apparemment une situation préoccupante dans une ville non loin de là où je devais me rendre initialement, aussi m’avait-on fourgué quelques faux papiers pour moi et une agent sur place – une certaine Rosa Winston - ainsi qu’un résumé rapide de ce que l’Ordre savait déjà de tout cela. J’avais passé une partie du vol à grogner contre cette malchance, avant de me calmer et d’étudier les maigres pistes que la situation nous évoquait. Et j’ai grogné de plus belle devant le vide sidérant de ce dossier.

La seule chose qui me réconfortait, c’était le lieu de la mission : l’Alaska. J’avais tellement apprécié ces étendues de neige à perte de vue qui m’avaient fait me sentir si petit face à elles. Cette nature sauvage et hostile réveillait tous mes instincts animaux et m’incitait à la parcourir jusqu’à l’épuisement. J’avais vraiment l’impression que j’aurai pu me perdre et mourir heureux, percuté par tant de beauté dure et cruelle. Ça faisait du bien de se sentir aussi vivant et aussi animal, car depuis que je portais ce foutu médaillon, j’avais parfois l’impression d’être vidé d’une partie de moi. Et je n’aimais pas ça du tout.

Perdu dans mes pensées, la route qui me séparait de la petite ville passa rapidement, et je me suis garé aux alentours de 14h – heure locale – devant ce qui semblait être l’auberge où je pourrais peut-être trouver ma coéquipière de mission. En sortant de la voiture, mon regard se perdit sur une petite fille très occupée à caresser un animal imaginaire. Je ne pus m’empêcher de sourire devant cette scène d’une innocence pure avant de m’engouffrer dans l’établissement.

L’ambiance à l’intérieur était… particulière, et quelques paires d’yeux de personnes attablées ne me quittèrent pas alors que je m’avançais vers le comptoir. Tout était en bois massif, ce qui donnait un effet chaleureux mais un peu oppressant aussi. À cela venait s’ajouter les têtes d’animaux empaillées qui trônaient sur les murs… dont tous les yeux avaient été bandés. Ok, vraiment bizarre.

- Bonjour, un café s’il vous plaît… et une chambre, dis-je à l’homme qui essuyait des verres paresseusement derrière son comptoir en me couvant d’un œil suspicieux. Je ne correspondais peut-être pas suffisamment aux couleurs locales pour qu’il se sente en confiance, aussi dégainai-je ma fausse plaque estampillée FBI pour l’aider à se montrer un peu plus affable. C’est fou comme trois lettres peuvent faire la différence parfois.

- Agent Demir, FBI, dis-je un sourire aux lèvres avant de prendre une rasade de café – immonde – pour me réchauffer. Il paraît que la ville rencontre pas mal de problèmes depuis qu’une équipe scientifique œuvre dans le coin.

Ces quelques mots suffirent pour réveiller toute l’amertume du taulier envers les archéologues, et il me raconta tous les évènements qu’il avait « vus de ses yeux vus », le tout emballé de croyances superstitieuses et d’exagérations flagrantes. Je l’écoutai avec intérêt, bien qu’il ne m’apprenait rien de plus que je ne savais déjà. Néanmoins, je le remerciai pour ses renseignements et je tentai de le rassurer : le Bureau trouverait l’origine de tous ces troubles et réglerait le problème. Pendant notre discussion, j’avais balayé la pièce du regard mais n’y avais pas trouvé la jeune femme qui avait alerté l’Ordre. Peut-être se trouvait-elle dans sa chambre - la 17 il me semblait - aussi me décidai-je à aller chercher ma valise et à monter à l’étage vers ma chambre. J’y déposai rapidement mes affaires avant d’en sortir discrètement pour aller toquer à la n°17, espérant y trouver la fameuse Rosa Winston. Il était primordial qu’elle me dise précisément tout ce qu’elle avait découvert et que l’on échange sur les causes surnaturelles possibles avant de nous mettre d’accord pour mener la suite de nos investigations.

- Mademoiselle Winston, c’est le « bureau » qui m’envoie, chuchotai-je sans en dire plus, de peur que des oreilles indiscrètes, décidées à épier mes faits et gestes, ne traînent dans les environs.
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Dim 18 Juil - 9:39

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Eliza Nekkers

Eliza Nekkers
Plus elle restait, plus Eliza se sentait bizarre. Trois jours. Quatre. Cinq. Un peu moins d’une semaine, et elle comprenait déjà que ce quelque chose d’étrange essayait de l’envahir aussi.

Elle s’en était rendu compte lorsqu’elle eut l’impression que des centaines de petites fourmis essayaient de s’infiltrer en elle, sous sa peau, par ses ongles. Elle avait d’abord paniqué, seule dans sa chambre, avant d’essayer de reprendre un peu ses esprits.

Ce n’était pas possible. Et pas logique. Donc c’était faux. C’était une illusion. Une hallucination. Elle était seule, dans une chambre d’hôtel vide.

Elle devait juste rester concentrée, et attendre l’agent qui arrivait. Elle ne pouvait définitivement pas aller voir le lieu de fouilles seule. Si ces choses étranges s’intensifiaient en s’en approchant, c’était risqué. Elle sentait bien que son sens de la réalité commençait à s’altérer malgré sa lutte interne. Elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider à garder les pieds sur terre.

Finalement, tandis qu’elle méditait au sol afin d’essayer de maintenir une sorte de barrière mentale correcte, elle entendit quelqu’un toquer à sa porte. Elle ouvrit les yeux, tourna la tête vers l’entrée, et finit par se lever. Elle se sentit soulagée d’entendre que c’était enfin un collègue, et déverrouilla la porte pour le laisser entrer, lui offrant un sourire poli et sympathique.

« Bonjour, entrez je vous en prie. »

Une fois qu’il eut passé la porte, Eliza referma la porte et indiqua les fauteuils, non loin de la fenêtre, pour l’inviter à s’installer. Elle vérifia d’un coup d’oeil presque involontaire, machinal, qu’il n’y avait aucune fourmi sur le bureau, à côté du reste de son sandwich qu’elle n’avait pas mangé, qui était partiellement dans son emballage. Elle ne s’assit pas et s’appuya contre le bureau, croisant ses bras sur sa poitrine.

« Je ne vais pas m’embarrasser de formalités, tout ce que je veux c’est quitter au plus vite cet endroit, prévint la jeune femme, plongeant son regard ambré dans celui de son nouveau coéquipier. Ce que j’ai constaté, c’est que les habitants de cette petite ville sont victimes d’hallucinations. Parfois collectives. Peut-être que ce qui cause ça a un pouvoir de suggestion très fort. Donc si quelqu’un a une hallucination, dit quelque chose, une autre personne va le croire et voir la même chose, vous savez ? Un peu comme de l’hypnose, peut-être. »
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Mar 20 Juil - 10:13

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Nawar Nasri

Nawar Nasri
La porte s’ouvrit sur une jeune femme aux cheveux violets, l’air passablement fatigué et agité, et qui me pria d’entrer lorsque je la saluai, ce que je fis prestement avant de m’asseoir sur le fauteuil qu’elle me désignait. Je toisai d’un œil curieux l’endroit dont l’agencement se révélait être similaire à ma propre chambre. Cependant, la jeune femme semblait y avoir déjà passé un certain temps. A moins qu’elle ne soit quelqu’un d’extraordinairement bordélique comme pouvait l’être mon ancienne colocataire.

Je l’ai écouté avec inquiétude car le ton de sa voix autant que ses propos étaient troublants. Elle était restée debout tout du long, les bras croisés, tendue.

- Peut-être… En tout cas, ce qui cause cela me paraît en effet très puissant. Et quoique ce soit, cela semble lié aux récentes fouilles archéologiques dans la région. A première vu, il est impossible de savoir s’il s’agit d’une créature, d’un sortilège ou bien d’un artefact qui se serait activé sans nous rendre nous même sur le site de fouille. Mais on ne devrait pas avoir trop de difficulté à nous y infiltrer, dis-je en lui tendant une fausse carte de journalisme au nom de Rosa Winston que l’on m’avait confié avant que j’embarque. J’avais moi-même ma vieille – et véritable - carte de photographe qui traînait dans un coin de mon porte-feuille, mais continuer à jouer à l’agent Demir m’amusait peut-être un peu plus que de jouer les reporters. Je lui fis voir ma fausse plaque avant d’enchaîner, un peu brutalement : Pardonnez-moi si je suis un peu brusque, mais vous avez l’air nerveux… avez-vous été victime de ces hallucinations dont vous parlez ? Et si oui, au bout de combien de temps pensez-vous que cela s’est déclenché ?

Ce n’était pas pour la juger, mais c’était simplement qu’il me venait juste à l’esprit que mettre un type comme moi face à quelque chose provoquant des hallucinations - et donc créant potentiellement un stress intense - n’était pas l’idée du siècle question sécurité de la population. Je serrai machinalement le talisman contre ma poitrine, comme pour lui intimer de fonctionner correctement s’il m’arrivait de virer du côté poilu de la force, car même si je détestai ce bijoux, j’avais pu attester de son efficacité.

Aussi, je l’ai laissé me répondre avant de continuer, toujours un peu plus brusque que je n’aurai voulu :

- Bien… vous souhaitez quitter cet endroit au plus vite et moi aussi, alors je vous propose de ne pas perdre une seconde et de nous rendre sur place. On établira un plan d’approche des scientifiques dans la voiture, ça vous va ? Lui demandai-je alors que je commençai à me lever comme pour illustrer ma détermination à en finir rapidement.

- Et, une dernière chose : JE conduis, ok ?

Ce n’était pas macho de ma part, mais je n’allais tout de même pas laisser quelqu’un avec de potentielles hallucinations gérer une voiture sur la neige; je tenais un peu à ma vie quand même.
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Mar 20 Juil - 11:36

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Eliza Nekkers

Eliza Nekkers
L’homme face à elle semblait agréable, et elle aurait aimé pouvoir lui sembler un brin plus amical. Elle était toujours un peu choquée par son hallucination - c’était la première fois que ça lui arrivait, et retrouvait son état normal était un peu compliqué. Mais Eliza était quelqu’un de pragmatique, et qui avait malgré tout les pieds sur terre. Elle s’attendait à en avoir, un moment ou un autre. Alors comme pour les rêves, elle se concentrait sur quelque chose de concret, de réel, qui n’était pas une illusion, et qui lui permettait de retrouver le concret de la réalité.

« Je préférais ne pas y aller seule, et je pense que j’ai bien fait. Maintenant que vous êtes là, c’est quand vous voulez. »

Elle pencha légèrement la tête en le voyant sortir quelque chose de sa poche et un sourire s’installa sur ses lèvres en voyant la carte de journaliste qu’il lui donnait. Elle l’attrapa entre ses doigts délicats et la rangea dans sa poche.

« Parfait, c’était tout ce qu’il me manquait. »

Mais sa question suivante la fit soupirer et son sourire se transforma en grimace ennuyée. Elle hocha lentement la tête.

« J’en ai eu une ce matin. Je ne crois pas en avoir eu d’autres auparavant, mais celle-ci a été gênante. Ca fait une semaine que je suis ici. Plus vite on en aura fini, plus vite le risque que ça recommence s’arrêtera. »

La jeune femme retrouva son punch habituel et elle se redressa pour aller enfiler ses bottes ainsi que sa veste. Sac au bras, elle passa devant l’agent qui faisait équipe avec elle et s’arrêta alors qu’il faisait encore une remarque. Elle n’aimait pas laisser le volant à quelqu’un d’autre d’ordinaire, mais elle hocha la tête.

« Il vaut mieux, oui… On prend votre voiture, donc ? Si vous êtes venu en voiture. » puis elle se tourna, et attrapa la clé de la chambre. « On peut y aller. »

Elle lui offrit un sourire plus sincère, soulagée de ne pas être seule avec son esprit défectueux et elle ouvrit la porte de sa chambre, l’invitant à sortir.
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