Pupille de feu

L’étage supérieur du quartier général était entièrement constitué d’arches et de livres ; tous les murs en étaient couverts, donnant l’impression qu’ils servaient en partie à soutenir l’architecture complexe et labyrinthique de couloirs courbes qui s’entrecroisaient. On retrouvait, parfois, entre deux reliures, des boites de verres parfaitement ajustées où reposaient des parchemins, des pages orphelines, et plus rarement des objets antiques et indéniablement magiques.  Autour du vaste espace central, un large escalier en colimaçon ne faisait pas exception et courais un long très étalage circulaire qui montait jusqu’au sommet de la coupole. En dessous de cette dernière, un aménagement de vitrines d’exposition et de tables de travail permettait aux chevaliers d’étudier.

Aujourd’hui, l’ordre habituel avait été altéré : deux tables habituellement séparées avaient été collées et un ordinateur jurait avec le décor autrement classique et fantaisiste. Tout ça pour étudier ce que la capitaine de l’ordre surnommait avec frustration l’énigmatique grand-père soviétique, ou plutôt le mystérieux papyrus.

 

Ordre de mission :
Étudier et déchiffrer, dans la mesure du possible, un mystérieux papyrus couvert d’une écriture inconnue afin d’en comprendre la nature.

Ce que vous savez : Le bout de parchemin était jusqu’à récemment une fraction d’un vieux grimoire. Des chevaliers l’ont trouvé dans un temple de dragons, mais, en sortant, se sont faits embusquer et brulés vifs. Seul celui qui tenait le grimoire à survécu malgré d’horribles brulures, alors que du grimoire, il ne restait que ce très court extrait.

Le chevalier a succombé à ses blessures dès qu’il a cédé le parchemin à l’ordre.

Le parchemin est, à priori, indestructible.

Aucune magie ne semble émaner du papier ou de l’encre en soi.

 

Indications supplémentaires : À travers RP, vous devrez formuler des observations et des hypothèses, basés sur le code ci-dessous, qui pourront débloquer des interventions du narrateur.