LIENS UTILES
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| | Concours: L'amour est dans l'air ~ Gagnante : Alia ! | |
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Quel est votre fanfiction préférée? | 1 | | 36% | [ 5 ] | 2 | | 7% | [ 1 ] | 3 | | 14% | [ 2 ] | 4 | | 29% | [ 4 ] | 5 | | 14% | [ 2 ] |
| Total des votes : 14 | | Sondage clos |
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Dim 3 Fév - 18:09 | |
| Admin Points : 0 Messages : 491
le narrateur | Concours de drabble fanfiction
Comme les concours de drabble et de dessin, ceux de fanfiction sont des animations permettant de gagner des points, des icônes et de la gloire au sein du forum. La durée d’un concours s’étale sur 15 jours : 10 pour soumettre vos œuvres, puis 5 pour voter et sélectionner le texte gagnant.
« Une fanfiction est un récit que certains fans écrivent pour prolonger, amender ou même totalement transformer un produit médiatique qu'ils affectionnent, qu'il s'agisse d'un roman, d'un manga, d'une série télévisée, d'un film, d'un jeu vidéo ou encore d'une célébrité » - Wikipédia
★ Le thème de ce concours est : une fanfiction romantique ! ★ La limite de mots recommandée est de 500 mots selon ce compteur, mais libre à vous de le dépasser, tant que ce ne soit pas abusif. ★ Chaque œuvre doit obligatoirement inclure un personnage (ou plus) du forum. Voici une page pour vous aider à trouver un ship au besoin. ★ Vous devez publier vos soumissions par MP au Narrateur avant le 13 février inclus. ★ Au moment venu, entre le 14 et le 19 février, vous pourrez voter pour les autres participations, même si vous n’avez pas participé, bien entendu ! ★ Vous pouvez soumettre autant de textes que vous voulez. ★ Le gagnant sera affiché le 20 février, et un nouveau concours sera prochainement lancé.
Vu que les européens n'ont pas pu profiter de la soirée du 3, on décale l'horaire d'un jour, c'est-à-dire que la nouvelle date limite des soumissions est le 14, celle des votes, le 20, et le gagnant sera désormais affiché le 21 février au lieu du 20. Profitez-en pour faire venir plus de fanfics!
Maintenant, la période de soumissions achève, vous laissant épouser des yeux ce que votre imagination désire le plus.
- 1 - par Alia:
“Toi ! On a des comptes à régler !”
Alors qu’il était en train de brosser sa chienne, casque vissé aux oreilles, Cy releva la tête, surpris. Il regarda l’homme aux cheveux bleus qui s’approchait de lui, l’air parfaitement furieux, se remit sur ses pieds après avoir flatté la tête de son animal, et baissa son casque autour de son cou.
Il ne s’attendait pas à voir débarquer le surveillant, l’oeil pétillant de colère difficilement contenue. Bouche bée, le professeur de musique l’observa de bas en haut. Tullio avait toujours cette manière sexy de s’habiller, de bouger ; et même si le musicien savait qu’il n’avait rien à lui envier, il ne put s’empêcher d’observer brièvement le balancement discret de ses hanches.
S’il avait été plus attentif aux sourcils froncés du plus jeune et sa posture colérique, Cy aurait certainement pu éviter de se faire attraper par le col. Il avait beau être dominé par toute la hauteur de son cadet, son regard était devenu un brin moins rêveur. Il était certainement capable de mettre KO le surveillant, cela se voyait à ses muscles lorsqu’on avait la chance de l’apercevoir torse-nu pendant un concert. Il leva simplement les mains, en signe de paix.
“Je peux t’aider ? - Fais pas l’innocent ! Tu sais très bien de quoi je veux parler !”, cria Tullio, avant de gronder de colère, “Victoria ! Je… On vous a vu vous embrasser !”
Cy écarquilla les yeux, avant de sourire doucement, puis plus franchement, et d’éclater de rire. La colère de Tullio n’en était que plus comique, mais lorsque celui-ci chercha à écraser son poing dans le visage du beau blond, il ne fut que plus surpris de voler à moitié, malgré leur différence de taille, et d’atterrir par terre, l’enseignant vissé sur les hanches pour le bloquer au sol.
“Lâche moi, putain !”
Le long doigt habitué aux instruments du musicien se posa sur les lèvres du plus jeune. Il se pencha un peu plus, on aurait pu croire que c’était pour le bloquer au sol et s’assurer qu’il se calme, mais la raison était toute autre :
“Tu penses réellement que Victoria m’intéresse ?”
Au lieu de laisser Tullio répondre, Cy se pencha, remplaçant son doigt par ses lèvres pleines. D’abord surpris, le surveillant ne tarda pas à répondre au baiser, l’accentuant, ses mains se faisant avides alors qu’elles épousaient les formes du musicien. Celui-ci laissa échapper un gémissement sourd et ondula par réflexe. Peut-être parce que les mains sur surveillant s’étaient posées sur ses fesses...
“Dépêche toi Tullio, je suis déjà tout humide pour toi…”
“Hn… Stop. Là, c’est plus crédible. Tout le monde sait que les mecs ça….”
La bibliothécaire eut un regard vers les deux élèves, qui se tassèrent sur leurs sièges.
“... mouille pas de là. - Mais si. Je l’ai vu dans un manga.”, contra l’autrice en herbe, une moue boudeuse au visage. “Non. Ca marche pas comme ça. Si on veut pouvoir mettre ça sur notre forum, il faut que ce soit crédible… - Bon. On fait arriver la prof de français alors ?”
Les deux échangèrent un regard, et un sourire jumeau étira leurs lèvres.
Victoria poussa la porte d’un mouvement ample, se figeant sur le pas de celle-ci alors que les deux hommes relevaient la tête, le rouge aux joues.
“Mais… Qu’est-ce que vous foutez ?
- 2 - par Syn:
Les cris s’éloignent lorsque Cy et Ether atteignent l’entrée d’une étroite caverne au Tadjikistan, pays renommé pour ses montagnes, en mission pour chasser des Harpies volant des manteaux de fourrures. Ou l’inverse.
- Passe en premier pendant que j’monte la garde, si jamais elles reviennent, suggère Cy en prêtant à Ether sa lampe frontale.
Hochant la tête, l’asiatique caresse du regard les parois et les environs de la grotte. Puisqu’il est déjà mouillé à force de traverser le cours d’eau avant d'arriver ici, ça ne lui dérangerait pas plus de se mettre à quatre pattes. Cy, suivi par Nàtt, le rejoint dans une modeste salle regorgeant de fragments de cristal. Ils s’installent et commencent ensuite à vider les sacs de provisions, question de vérifier leur date d’expiration. Non pour ignorer le fait que deux bels jeunes hommes se retrouvent isolés.
À quelques intervalles, Ether jette des coups d’œil à son copain, répondant à ses grommellements avec nonchalance, toutefois avec une expression mélancolique. Parce que prétendre que tout va bien n’empêche pas le trou noir qui se creuse dans sa poitrine. Parce qu’il se sent seul. Constamment. Mais l’avouer serait laisser marquer le but aux gamines trop dévoués à leur amour imaginaire. Mais cette histoire de fangirls et caméras n’était qu’une bouffonnerie. Quelque chose à avoir en tête au lieu d’une mort probable. Alors pourquoi y pense-t-il aussi sérieusement? Cette mission a lieu dans la vraie vie, pas dans n’importe quel film ou série anodins. Et les gens, dans la vraie vie, ont des besoins, des désirs. Comme aimer. Pas comme on aime un chien comme Nàtt, mais plutôt… Comme un ours grognon au grand cœur.
Cy détourne son regard, voyant l’état accablé de son partenaire.
- Ça va, mec?
Il se rapproche de lui, mettant une main sur son épaule.
- Je… sais pas comment... ou si je peux le dire…
- Dire quoi? Qu’est-ce qu’il y a?
Il ne comprend visiblement pas ce qui met son ami dans cet état. Avant aujourd’hui, jamais il n’hésitait trop longtemps à parler d’une voix si tremblante. Jamais il n’avait les larmes aux yeux.
- Je ne pourrais pas réussir cette mission, ou encore continuer à vivre sans toi…
Ether ne peut presque plus contenir ses émotions. Encore un peu de temps, et il déversera ses larmes sur celui qu’il aime. Lui qui se montre si fort et vaillant. Alors il essaie d’empêcher les hoquets et les sanglots, ne parvenant qu’à susurrer sa dernière phrase.
- J’ai besoin de toi.
Les yeux de Cy s’agrandissent, puis son regard s’adoucit. Son côté romantique s’émouvait à la vraie affection démontrée, tandis que son cœur se brisait à son désespoir.
- Sans toi, je n’aurais pas trouvé cette grotte, et honnêtement, je ne serais pas resté avec l’Ordre et ses conneries, murmure-t-il en levant son menton.
Ether sourit à travers quelques larmes déversées par surprise lorsque les lèvres de son bro se posent sur sa joue. Il le tire alors vers lui.
- 3 - par Fush:
Je tends le bras et glisse mes doigts sur son visage pour repousser une mèche de cheveux bruns derrière son oreille, passant mon pouce sur la petite cicatrice qui orne sa joue gauche.
"Je l'aime bien, tu sais?"
Fis-je avec un sourire, parce que j'aimais la façon dont ce petit trait clair se mouvait sur sa peau, dansant sous ses expressions. Je lui resservis un verre de vin, avant de désigner son assiette d'un léger coup de menton.
"Ça te plaît? J'ai appris cette recette exprès pour toi."
Avouais-je, en sentant une légère rougeur s'étaler sur mes joues tandis que je plongeais mon regard dans ses yeux verts. Toria était particulièrement magnifique ce soir. Ou peut-être que c'était moi qui était encore plus en admiration que d'habitude?
"Pour le dessert, j'ai… en fait j'en ai prévu deux."
Une gorgée de vin pour me donner du courage, et je décidais de me lancer à l'eau malgré mon visage en feu.
"Tu as le choix. Vraiment, complètement le choix. On peut manger une part de gâteau au salon, devant un film ou alors…"
Je laissais ma phrase en suspend, et je songeais que j'aurais mieux fait de préparer mon speech à l'avance. Je ne savais pas vraiment comment formuler la chose, cette situation ne m'était pas familière.
"Ou alors on pourrait s'installer quelque part de plus confortable?"
Elle se lève et je connais son sourire espiègle. Elle a beau emporter son verre avec elle, ses pas ne se dirigent assurément pas vers le salon. Je descends le mien d'une traite et je la suis.
Elle hausse un sourcil, comme elle le fait souvent, mais cette fois-ci ce n'est pas pour se moquer ou parce que je la laisse dubitative. Elle me met au défi. Je compte bien le relever alors je ferme la porte derrière nous pendant qu'elle joue avec l'ourlet de son haut. Je le lui ôte, glissant mes mains sur sa taille au fur et à mesure qu'elles remontent.
Son t-shirt rejoint le sol, bientôt suivi par le reste de nos vêtements. J'essaye de prendre mon temps, de ne pas me presser, mais j'ai attendu si longtemps que j'en ai les doigts qui tremblent. Je découvre sa peau et je la vénère comme elle me mérite. J'essaye en tout cas, et mon inexpérience la fait rire un peu.
Je ne me vexe pas, c'est ma première fois après tout, et elle a la gentillesse de me guider. Nos corps s'épousent et s'harmonisent, même si c'est un peu chaotique, c'est surtout tendre parce que ça fait une éternité que je rêve de ça et qu'un rêve ça se savoure.
On finit le souffle court, côte à côte dans le lit, nos membres emmêlés et je sens qu'elle se moque gentiment de mon manque d'endurance.
"Si tu te moques encore de ma crampe à la mâchoire, les poules auront des dents avant que je recommence!"
Je menace, mais sans pouvoir m'empêcher de rire. Je me penche pour embrasser sa joue et ma poitrine se presse contre son bras.
"Cela dit tu vas être obligée de reconnaître que toutes ces heures à malaxer des pâtes en tout genre ont porté leurs fruits."
Fis-je, en agitant les doigts pour venir lui chatouiller le ventre. Je m'arrête quand les siens glissent sur les écailles qui ornent ma colonne et j'en profite pour caler une mèche de longs cheveux violets derrière mon oreille. Moi, Danaé, je suis heureuse avec elle.
- 4 - par Loeva:
Les vagues étaient déchainées sous un ciel orageux, mais Lorelei se sentait en sécurité et en paix. Les vibrations de la mer enlaçaient son corps comme un vieil amant possessif retrouvé, sans restreindre ses mouvements lents et gracieux. Elle n’était peut-être plus immortelle, mais n’en devenait pas une simple humaine pour autant ; la tempête était confortable comme un lit et son corps s’étirait avec aise dans le ressac. Quand l’eau pénétrait chacun de ses pores, elles ne formaient qu’une entité fluide.
Mortelle ou pas, à nouveau, elle était les flots, elle était la mer et elle était l’océan.
Jo avait les pieds dans l’eau. Ses mollets, et les vagues gravées dans sa chaire, se perdaient dans l’écume généreuse. Elle savourait la puissance de l’orage, car elle aimait encore davantage la mer lorsqu’elle était aussi passionnée.
Lorelei, les yeux et le nez à peine sorti de l’eau, l’observait avec la curiosité d’un prédateur ; les humains étaient si étranges à vouloir s’aventurer là où ils n’avaient pas leur place, pensa-t-elle. Son état d’immersion et la proximité de l’autre, éperdue dans l’horizon, attisait ses instincts de Naïade. Elle avait très envie de l’attraper et de l’entrainer avec elle pour la noyer. Jadis, ce aurait été son plus grand divertissement, mais son humanité nouvelle rougeoyait comme une braise au cœur de ses instincts de charbon. Cette euphorie meurtrière et simpliste, même en inoffensives pensées, était la martyre d’une moralité abrasive et d’un remords destructeur. Or sa nouvelle conscience était ceinte de plaisirs plus complexes et diversifiés qu’elle se faisait un devoir de découvrir ; après tout, elle avait payé fort cher pour être en mesure de les expérimenter.
Lorsqu’elle attrape enfin les mollets de Jo, c’est non pas pour l’entrainer dans les profondeurs, mais pour la glisser dans ses couvertures aquatiques et se déverser sur elle avec toute la force de la marée. Non pas pour la noyer, mais pour l’étreindre – lui couper le souffle, sans aucun doute, mais pas pour bien longtemps, parce que ses lèvres descendirent vite contre son cou et sa gorge. Ses mains étaient inquisitrices et curieuses, et comme l’eau, prompte explorer l’entièreté de son corps luxuriant.
Jo avait crié de surprise, à peine un murmure dans le vent assourdissant, mais elle avait vite reconnu la mer, son amour. Elle était faite de chair, pour une fois, avec des cheveux qui flottaient autour d’elle comme des algues faites d’argent et d’or.
Leur passion dura aussi longtemps que celle de la tempête, et Lorelei disparut dans l’eau après un dernier long baisé arraché à ses lèvres brulantes. Jo observait le ciel, essoufflée, étourdie et euphorique, ne croyant pas encore à cette rencontre intense.
Elle resta allongée, nue sur la plage humide, pendant quelques instants encore… Avant de réaliser que ses vêtements avaient depuis longtemps été emportés par les vagues. Un rire cristallin coule entre ses lèvres, nerveux, mais indéniablement heureux malgré le retour gênant vers la maison qui l’attendait.
- 5 - par Enguer:
Accoudé au bar, je soupire. J'avais tout sauf envie de sortir ce soir mais comme d'habitude, j'ai finis par la suivre comme un bon toutou dès qu'elle a un peu forcé la main. Je souffle une nouvelle fois et finis le reste de mon verre avant d'en commander un autre. Le pire, c'est que je suis là tout seul au comptoir d'un bar perdu au Japon parce que madame est partie je ne sais où, flirter avec je sais pas qui. Ça saoule. Et un nouveau verre de bu, j'y vais pas de main morte ce soir mais au moins ça m'occupe. Je regarde à droite à gauche en cherchant une possible compagnie pour la soirée lorsque je sens une main se poser sur mon épaule. Je sursaute légèrement et me retourne pour voir Zakuro, pas spécialement sobre mais particulièrement fier de ma réaction.
C'est étonnant de te voir dehors tout seul, monsieur se sociabiliserait ? Absolument pas, j'ai juste pas réussi à dire non à Toria et entre temps elle s'est cassé pour se taper je sais pas qui.
Pauvre Tullio, dit-il avec un sourire, je peux peut-être te tenir compagnie pour cette soirée que dis-tu ?
Je le regarde peu convaincu mais finis par acquiescer, trop blasé d'être seul pour refuser ça.
Quelques nombreux verres plus tard et toujours sans Toria, on sort du bar, bras dessus bras dessous, tentant malgré tout de nous soutenir mutuellement pour marcher relativement droit. Je cherche dans mes poches les clefs pour rentrer chez moi avant de me souvenir que premièrement, je savais pas comment rentrer et que deuxièmement, c'est Toria qui avait les clefs et non moi. Je soupire une nouvelle fois :
J'peux pas rentrer chez moi… j'ai pas de… clés, j'peux dormir chez toi ?
Ça risque d'être compliqué… on est loin de chez moi j'peux pas marcher autant et puis regarde ! Dit-il en me montrant du menton un hôtel, ç'est pas trop cher ça et c'est assez … amusant. Allez viens !
Je me laisse tirer par le bars sans rien dire, de toute façon c'est lui qui connait et qui parle alors il gère et je suis.
Arrivés à l'intérieur, Zakuro se dirige rapidement au comptoir et se met à parler avec un vieil homme pendant quelques minutes. Il se tourne ensuite vers moi, un sourire au lèvre et une clef dans la main et me tire vers l'ascenseur.
Y a plus qu'une chambre, on a de la chance ! Je suis sur que ça va te plaire !
On arrive devant la porte, sobre et sans rien de particulier. Mon compagnon de soirée me tenant cette fois par la hanche, m'ouvre la porte et me laisse entrer. Le temps que mes yeux s'habituent à la lumière tamisée du lieu, il referme la porte. Je me rends alors compte que la chambre comprends qu'un seul lit, double, mais surtout , une quantité assez impressionnante de jouet et d'ustensiles comme des fouets, des cravaches, des menottes, des cordes et des masques et pleins d'autres objets du même genre. Je me tourne lentement vers lui, confus et peu confiant quand à la situation actuelle dans laquelle je me trouve.
C'est quoi ça ?
Voyons Tullio, me dit pas que t'as pas compris ? Tu connais le BDSM j'imagine ? Ça sera une nouvelle expérience excitante ! Ne t'inquiète pas ça sera relativement doux.
Je recule par reflexe tandis qu'il s'avance vers moi avant de tomber sur le lit, lui au dessus de moi. Il plonge alors sur mes lèvres et le mordille pour en demander l'accès complet qu'instinctivement je lui offre. Je sens au même moment des liens s'enroulaient autour de mes poignets et parvient à distinguer des menottes qui me rattache aux barreaux de lit. Mais entre l'alcool et le plaisir que je pourrais avoir ce soir, je ne m'en formalise plus et décide plutôt de profiter du moment. Tandis que nos langues se mêlent et que le baiser s'intensifie, nos corps se rapproche et nos bassins se frottent alors l'un contre l'autre. Il stoppe pour reprendre son souffle et se séparer de nos vêtements qui devenaient de trop. Il enlève son haut ainsi que son pantalon avant de déboutonner ma chemise, en profitant pour caresser négligemment mon torse brûlant de désir et de l'alcool ingéré. Rapidement agacé par la lenteur de ces mouvements, je plie mon genou pour le mettre contre son intimité devenue tendu et bien visible à travers son simple caleçon.
Vas plus vite putain !
Il s'arrête et me regarde quelques secondes avant de m'intimer de me retourner et de se lever. Je l'entends cependant revenir quelques secondes plus tard avant de sentir un coup sur mon fessier, certes amorti par le jean, mais assez fort pour me faire sortir un mélange de cri et de gémissement.
T'as l'air d'aimer à ce que j'entends ! Je te pensais pas comme ça Tullio, gémir pour un coup de cravache, je regrette pas de t'avoir croisé ce soir mais essaye de crier moins fort, à moins que tu ne souhaites tester d'autres jouets ? On va faire ça je pense.
Je le sens de nouveau repartir avant qu'un voile se pose sur mes yeux, je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il place un boule diminuant les gémissements que je pousse suite à ces nouveaux coups de cravache. Une brûlure agréable se fait sentir sur la zone devenue sensible après plusieurs minutes de "jeu". Cependant, la caresse de la cravache sur mes fesses et rapidement remplacée par celle de mon pantalon et de mon sous-vêtement puis celle de son engin toujours tendu et gorgé de sang qui ne tarda pas à rentrer en moi. Et nos corps s'harmonisant ainsi pendant le reste de cette soirée ne s'oublieront pas de si tôt, aidées pas mon corps marqué qui ne me fait pas regretté la tournure qu'aura pris cette soirée.
Merci à tous les participants pour vos soumissions romantiques !
Selon 5 de 14 votes, le gagnant de ce concours est... Alia !
Félicitations, très chère ! Voici l'icône trophée correspondant, 25 points accompagnateurs, et une horde de fans pâmées anticipant le prochain chapitre.
Achievement Unlocked ! Succès ! Tu as accompli un défi : Remporter un concours. Pour féliciter ton exploit, 25 points ont été crédités à ton profil et l'icône ci-dessus a été ajoutée à ton dossier !
Syn', Fush, Loeva et Enguerrand atteignent eux-aussi 25 points pour leur participation.
Achievement Unlocked ! Succès ! Tu as accompli un défi : Contribuer au musée du forum. Pour féliciter ton exploit, 25 points ont été crédités à ton profil et l'icône ci-dessus a été ajoutée à ton dossier !
Le prochain concours, je vous le promets, sera... bientôt.
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| | | Concours: L'amour est dans l'air ~ Gagnante : Alia ! | |
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