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Entre Sartre et Naruto

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Mer 19 Sep - 18:53

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Je n’étais pas certain qu’une balade inopinée avec une élève - qui avait dû redoubler quelques fois - pour parler de son avenir ne soit pas délicieusement louche. C’était pourtant une bonne couverture pour une inspection de l'établissement, et lorsque nous avions quitté mon bureau pour nous rendre à la bibliothèque, je lui avais demandé de me parler de ses projets d'avenir. J’allais bien pouvoir trouver une excuse pour récupérer un bouquin quelconque, et nous éviterions avec un peu de chance que cette balade ne soit la génèse de racontars honteux, nous. Si je pouvais éviter d’avoir une réputation de pédophile dans un établissement scolaire, j’apprécierais.

Je n’étais toujours pas à ma place ici, peut-être pas même dans l’ordre, et je tentais de lutter contre le réflexe atavique de m’endormir en écoutant les rêves d’une étudiante, sachant bien que rien ne dépendait de notre discussion sinon une excuse pour moi de quitter mon bureau et fouiner un peu.

Peut-être aurais-je dû essayer de me fondre un peu plus dans la masse, songeai-je alors que les regards se tournaient vers nous à notre entrée dans les lieux où le silence était maître mot. Discuter avec les enseignants - mais je n’en étais pas un -, mettre des lunettes pour paraître plus vieux encore ou porter comme ce prof bizarre qui, j’espérais, n’était pas un des chevaliers, des chemises hawaiienne à motif d’hibiscus soi-disant chic, gris sur fond noir.

Je secouai la tête pour chasser une image terrible de chemises ridicules et de lunettes à montures trop larges qui n’auraient pas réussi à dissimuler la cicatrice qui me barrait l’oeil, soupirai en remarquant qu’aujourd’hui Alfonse était décoré d’un nénuphar en origami-serviette-de-la-cantine et roulai des yeux.

“Nous devrions trouver un livre pour vous éclairer...”

Vilaine excuse pour fouiller les rayons, cesser j’espérais d’attirer l’attention. Je laissai de côté les ouvrages antédiluviens dont les couvertures ne tenaient que par le plastique transparent dont elles étaient recouvertes, mon regard les dépassant dans l’espoir de trouver une piste au sujet de ce qui nous amenait réellement ici - de toute évidence, pas Descartes.

J’eus un regard vers mon excuse du moment, me demandant ce que je pourrais bien en faire si jamais la situation dérapait. La poser dans un coin, certainement, et m’assurer qu’elle ne soit pas blessée. Ni une gêne.

Je récupérai un petit volume, me demandant si je faisais réellement illusion dans mon rôle - mes rôles - et en vérifiai le contenu rapidement. J’aurais donné beaucoup pour qu’un farfadet en jaillisse et que j’aie l’impression de me sentir un minimum utile.

“Certains passages devraient vous intéresser.”, annonçai-je laconiquement en tendant le livre à la gamine, aux aguets.  “N’hésitez pas si vous avez des questions.”
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Lun 12 Nov - 11:51

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Aux environs de minuit, un poste de radio chantait au sein du grenier de l’appartement. À son arrivée, une créature ayant ouï sa mélodie profita d’une fenêtre ouverte pour se faufiler dans la pièce déjà sombre, la rendant encore plus froide, glacée malgré l’autan. Elle jeta un coup d’œil aux objets décrivant son entourage et se rendit vers une berceuse où, emmitouflé sous ses couvertures, un bébé ronflait, bercé par le bois grinçant. Elle le retira de son lit et elle marmonna, dans un langage qu’aucun humain ne pouvait identifier, quelques paroles afin de l’empêcher de braire. Ensuite, elle plaça un leurre, semblable à l’apparence du poussin humain, confortablement dans ces mêmes couvertures avant de s’éclipser. Cinq lettres pastels, collés sur le berceau, épelèrent  « Dalia » avant d’être obombrés sous un voile d’obscurité totale.

Voilà mon arrivée - selon mon père – dans le monde. Depuis longtemps, on m’a convaincue que les savoirs de mes parents ne se limitent qu’à mon « adoption », mes difficultés à marcher et à parler, mes réveils étranges durant la nuit… Du moins, pas ceux de mon père. Depuis son appel récent, il m’a expliqué les progrès de ses recherches; selon lui, il paraît que certaines créatures, comme des trolls, des fées ou des geunaudes, échangent un leurre à la place d’un enfant humain non baptisé ou grandement admiré. Ce leurre, appelé un Changelin, aurait généralement une peau jaunie aux traits plissés et des yeux très sombres, diverses déformations physiques ou développementales, comme un membre tordu ou l’incapacité de marcher jusqu’à un certain âge. Même si quelques critères, comme une famille adoptive pauvre, avoir des cheveux foncés, être témoin d'une voix hypnotique arrivant à la puberté (dans mon cas, Dada l’olibrius), peuvent s’appliquer dans ma vie actuelle, il se trouve encore confus par tant d’informations, se demandant si j’arrive vraiment de ce lot ou encore si sa fille biologique se retrouve entre de mauvaises mains.

À sa place, je n'aurais pas aimé y penser; perdre un être cher de cette façon doit être une des situations les plus compliquées et bouleversantes pour lui et le reste de la famille. J'en suis aussi attristée; penser que mes parents biologiques ne veulent pas de moi, être au centre d'une rupture familiale, et même que je suis censée remplacer la Dalia humaine pour masquer sa disparition... les raisons me sont encore inconnues. Pour rassurer mon père, je lui propose de rester sceptique, et que je vérifierais les sources avec lui plus tard. Sans en être soulagé, il raccroche, soi-disant pour réinstaller son aspirail.

***

-Prends tes choses et pars, dis mon professeur au moment où Monsieur Xander Matteson, le conseiller d'orientation, se tient à la porte.

Ce matin, ce dernier me convoque à son bureau afin de discuter de mon « avenir ». Ça tombe bien, parce que j’ai été à moitié endormie durant le cours; j’ai passé la nuit dernière à compléter mes devoirs, non seulement pour cette école, mais aussi pour mon université, qui ont commencé à s’empiler. Du coup, je me suis couchée plus tard que d’habitude, et les effets commencent à se ressentir. Je me lève alors de mon pupitre et obéis au maître de classe.

***

À peine suis-je entrée dans la salle de M. Matteson qu’il décide de se déplacer jusqu’à la bibliothèque. À mon grand soulagement, ceci me libère; je n’ai pas très envie de rester dans un potentiel capharnaüm jusqu’à la pause, après tout! De plus, même si j’ai commencé à « m’entraîner » à rester dans des espaces clos, la perspective de devoir rester dans cette chambre-là me donne des frissons…

Les bruits de nos pas emplissent le corridor et, à mesure qu’on marche, je prends place aux côtés du conseiller sans omettre de garder quelques pas de distance. Il m’a demandé de commencer à parler, mais je peux à peine garder une suite de mes idées quand je jette toujours des coups d’œil vers le côté gauche de son visage. En plus d’être très grand, avoir des cheveux argentés, mon regard se pose inexorablement vers la grosse cicatrice traversant son œil. Je me surprends aussi à observer sa carrure, ses muscles définis lui donnant un air imposant et sérieux… Serait-il un chevalier? À partir de ceci, je crois qu’il serait raisonnable de me demander si son poste actuel est légitime ou qu’un simple déguisement, une façade. Cherche-t-il lui-aussi à éliminer l’état actuel de l’école… ou a-t-il un autre but carrément différent?

Surprise de cette conclusion rapide, et à l'idée de ce que M. Matteson puisse me trouver à force de le regarder, je détourne les yeux tout en rougissant.

***

Enfin, nous sommes arrivés à destination! Je ne me souviens plus déjà ce que je viens de dire, mais ça ne me dérange pas plus que ça, tant que je n’ai pas révélé trop de faits véridiques à propos de moi. Nous nous dirigeons alors vers les rayons décorés de nombreux livres.

-D...d’accord, merci beaucoup! Dis-je en prenant le volume que me file mon accompagnateur, pour ensuite m’asseoir à une des nombreuses tables de la salle.

***

Que fais-je ici?

Je me réveille soudainement devant un tas de livres, ma tête couchée sur cette pile d’amphigouri. J’essuie ma bouche avec la manche de mon chandail, dégoûtée à la présence d’un fil de salive dégoulinant. Je jette un coup d’œil autour de moi.

Ais-je dormi?

Ça expliquerait ma confusion et la marque rouge sur mon visage, mais non les livres qui viennent d’apparaître devant moi! Voyons, qu'est-ce qui m'arrive? Je n'ai jamais dormi dans un établissement scolaire auparavant! Je devrais voir M. Matteson, je-

Plic!

Une goutte de sang découle devant moi. Sursautant, je porte une main à ma bouche, ensuite à mon nez, où ce même sang atterrit sur les pages jaunies et les peint avec son rouge du même nom. Je plisse les yeux. Je commence à devenir légère, étourdie. J'ai maintenant envie de gratter mon nez et... d'éternuer?

Envahie par l’urgence, je me presse vers ce qui je crois être Xander. Ma vision devient de plus en plus floue à mesure que je m’approche de ce qui est, désormais, plus qu'un amas de couleurs inconnues. Ma respiration s’accélère, tandis que mon cœur bat à tout rompre. Est-ce encore lui? J’agrippe son épaule et le secoue pour lui montrer mon visage qui se crispe sous les ressacs de mon corps et de mon esprit. Cette fatigue, cette angoisse, cette douleur... Ce n’est pas la première fois où une situation comme ça arrive; en temps normal, j’aurais pris un de mes précieux mouchoirs en lavande, mais…

Je les ais oubliés.
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Jeu 7 Fév - 17:39

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Aux remerciements de la gamine, je me demandais si j’avais réellement fait un quelconque travail avec elle. Mon possible n’était pas forcément suffisant, mais je pouvais toujours profiter d’être là avec une excuse pour farfouiller un peu dans les rayons. Pour pouvoir conseiller d’autres livres, plus tard, à d’autres enfants qui auraient eu la malchance de passer pendant que j’étais à ce poste.

Mon regard errait sur les étagères en hauteur, profitant de ma grande taille pour aller regarder les titres les plus haut perchés. Un regard à droite, à gauche, je sortis un mouchoir, me mis sur la pointe des pieds, récupérai un ouvrage dont la tranche semblait parfaitement poussiéreuse…

On m’aurait certainement regardé bizarrement, alors que je nettoyai scrupuleusement celle-ci du mouchoir, le repliant sur lui-même pour une analyse ultérieure. J’ignorais quel genre d’échantillon il fallait ramasser et où, ce qui serait utile ou non, mais autant en profiter. Je comptais cependant bien faire un tour de nuit également, pour avoir un meilleure vision des choses… Devais-je faire semblant de feuilleter l’ouvrage ?

Un sursaut violent m’échappa, me fit me tendre, lutter contre des réflexes qui n’auraient rien eu de positif pour mon image, celle de l’Ordre, ou quoi que ce soit alors que quelque chose - quelqu’un - me heurta. Ayant réfréné mon envie de frapper la menace, je baissai la tête sur la gamine que j’avais emmené là, prêt à l’engueuler de me secouer comme ça. Ce n’était pas une manière de traiter une élève, mais bord...

Rouge. Son visage était couvert de sang, et mon premier réflexe aurait été de presser mon mouchoir contre son nez pour calmer la chose. Mauvaise idée, vu la poussière qu’il y avait dessus. L’emmener à l’infirmerie - mais voir l’infirmière ? Plutôt crever - et m’en décharger.

“Dalia ? Qu’est-ce qui se passe ?”

Est-ce qu’on l’avait frappée ? Est-ce que, dans ce cas, j’avais le droit de défoncer un élève ? Je supposai que non, et soupirai intérieurement, lui relevant le menton pour comprendre un peu mieux ce qui s’est passé. Le nez. Tout venait du nez, et si je n’avais pas entendu de coup, alors elle devait juste… S’être mis à saigner du nez ? Pourquoi venait-elle me voir, alors ? Je reposai le livre, espérant éviter que la poussière ne la fasse éternuer, et rangeai le mouchoir souillé dans ma veste pour en récupérer un propre, espérant agir à temps avant qu’elle ne m’éternue dessus… J’imaginais déjà le sang, partout, et retins une grimace. J’avais déjà été aspergé de divers fluides plus ou moins glamour, mais quand ils venaient d’un humain, clairement, je préférais avoir demandé avant d’en avoir partout.

“Tiens, prends...”

Et merde. Je retins un soupir, plus qu’un mouchoir, et mon paquet était vide. J’espérais que cela suffirait, et lui posai un mouchoir sous le nez pour qu’elle puisse s’essuyer, se faire un bouchon, va savoir. Elle n’avait pas l’air bien, mais je devais garder mon calme.

Je lui posai la main sur l’épaule pour la rassurer - était-ce rassurant ? - et me forçai à lui sourire le plus doucement possible. J’aurais voulu la calmer, la soigner, et j’étais simplement paumé devant elle. Je doutais que ça ait rapport avec les problèmes du lycée, du moins ceux sur lesquels je pouvais directement agir, mais ce n’était pas non plus entièrement à écarter… Quels phénomènes dus à quelles créatures pouvaient provoquer des saignements du genre ?

“Ca va aller, t’inquiète pas, c’est rien. Ca t’arrive souvent ?”

J’avais oublié le vouvoiement, depuis un moment. Le vernis du conseiller d’éducation était bien fin, et partait trop facilement. Je restais focalisé sur les cause potentielles d’une blessures, l’environnement, la jeune fille qui semblait penser que je pouvais faire quelque chose pour elle. Je n’étais ni un médecin, ni un vrai prof. Je savais juste éliminer les menaces, tant qu’on me les indiquait clairement… J’ignorais simplement que faire pour elle, toujours paumé avec les problèmes de lycéens...

“Tu veux aller à l’infirmerie ?”
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Mer 13 Fév - 1:18

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le narrateur

le narrateur



Entre les livres, la poussière est reine d’un royaume négligé.  

Vous avez ramassé des échantillons de poussière:

Sur le mouchoir, vous pouvez facilement remarquer des particules foncées, poisseuses qui s’imbiberont vite dans le tissu de papier. Il n'est pas difficile de deviner que ce n'est pas que de la saleté ordinaire.

Une analyse ultérieure permettra d’identifier ces traces comme des excréments. Un parasite magique indiquera également que la créature de laquelle ils proviennent est surnaturelle, mais sans pouvoir dire laquelle précisément.  

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Jeu 6 Fév - 20:48

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Lorsqu’il se retourne vers moi, monsieur Matteson me couve de son visage crispé d’inquiétude, ses yeux élargis, mais aussi de paroles restées douces. Pas comme maman, à qui la voix et le nombre de questions d’élèvent chaque seconde qu’elle me voit en mauvais état comme celui-ci… Parce qu’il n’est pas maman… Alors pourquoi suis-je venue vers lui? Quelqu’un qui, même pas hier, ne m’était qu’un étranger. Quand j’aurais pu me glisser hors de la bibliothèque, vers un endroit plus éloigné des regards! De la manière où j’ai agité son épaule, on dirait que j’allais tirer la main de mon papá pour lui montrer quelque chose de trop beau – ou désolant.

J’ai ouvert la bouche pour en sortir un mot, mais le tressaillement dans mon dos, quand mon interlocuteur a posé ses doigts sur mon menton, me l’a fait ravaler. Tout ce que je lui révèle, est mon nez toujours coulant que j’enfouis dans le mouchoir qu’il me passe. Je lui accorde un regard qui remercie tandis que je penche légèrement la tête vers l’avant tout en pinçant mes narines.

Et tente de cacher un autre frémissement, suivi cette fois-ci de picotements, quand sa main se pose maintenant délicatement, espèce de fille sensible, sur mon épaule. Je relève la tête, mais aussitôt que je revois son visage, son sourire, toujours aimable, je décide de concentrer ma vision sur mes mains encore appuyant mon nez. Pour réfléchir, pas pour cacher mes joues rougies!

- N…non. Ben… parfois…

La honte se grimpe et s’agrippe sur moi, se réjouissant du fait que même si je suis devenue une adulte près de 5 ans plus tôt, je suis encore incapable de répondre à un simple « ça va? ».

- J’étais juste… surprise. Du fait que ça s’est arrivé si… soudainement…

Ce n’est rien, vraiment… ce n’est rien… Calme-toi…

- Non non! Je p-pref-fèrerais…

Inspire… expire… Reste calme, il va comprendre… J’espère…

- J’aimerais plutôt aller aux toilettes… seule… si ça ne vous… d-dérange p…p-pas.

Je prends mon courage à deux mains et ose porter encore mon regard sur monsieur Matteson, ou plutôt sur le milieu de son visage, pour attendre sa réponse. Quoiqu’elle soit, je sais que je n’ai plus l’énergie pour résister. Alors j’hoche la tête et déguerpis de la bibliothèque aussitôt qu'il l'aura terminée.

***

Fermant la porte d’une cabine derrière moi, je laisse un gros soupir quitter mon corps à présent parcouru de convulsions comme le sol pendant un tremblement de terre. Je m’imagine luttant pour m’échapper à cette géante main qui m’agrippe, écrase toutes les parties de mon corps pour me façonner comme de la pâte à modeler. La peur s’enroule autour de tous mes organes tel un tentacule et, en fidèle alliée, s’ajoute à la douleur pour l’empirer. Je ne peux que fixer le plafond qui s’éloigne, mon dos contre le mur, et m’efforcer d’étouffer les hoquets et gémissements creusant leur chemin vers l’extérieur de ma gorge pour espérer faire passer ce moment aussi vite que possible.

Dios Mío, ne laissez plus personne me voir comme ça. Surtout pas monsieur Matteson.

Surtout pas maintenant…


***

Un rat noir se faufile hors de la salle de bain publique et amorce enfin son aventure dans les corridors de l’école. Près d’un mur, il se promène jusqu’à ce qu’il rencontre une paire de souliers. Il relève la tête, couine comme un humain ricanerait, et se précipite dans la direction opposée, incitant le propriétaire de cette dernière à l’attraper. S’il le peut…
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