Je sais comment tuer trois hommes d'un coup avec des feuilles mortes ! Mais là vous êtes deux, vous avez bien d'la chance.
Fiche signalétique
Nom : Seară Prénom : Vlad Origines et nationalités : Roumaine
Race : Humaine Âge : 36 ans, né le 07/10/1982 Genre : Mâle Orientation : Hétérosexuelle
Taille : 1m76 Couleur des cheveux : Noir Couleur des yeux : Noir Trait particulier : De multiples cicatrices témoignent de son mode de vie intense
Dossier de l'ordre
Langues parlées : Roumain et anglais. (Il sait également commander une bière dans plus de 14 langues différentes !)
Habiletés : Son expertise des armes à feu et du combat rapproché laissent supposer qu'il a reçu un entraînement militaire. En tant que vétéran de l'ordre, il a de larges connaissances sur le monde magique en général.
Note particulière : Il adore raconter des histoires et prétendre qu'elles lui sont vraiment arrivées. Si la plupart semblent trop absurdes pour être vraies, certaines de ses anecdotes laissent parfois planer le doute.
Les rues de Timișoara étaient à feu et à sang. Une jeune femme à la tête recouverte d'un châle se frayait un chemin à travers les émeutes, sa main tremblante et ensanglantée serrait fébrilement son revolver. Cornelia avait fait de son mieux pour éviter les ennuis jusqu'à sa destination mais le monde était devenu comme fou. Quand deux hommes avaient tenté de s'en prendre à elle, elle avait été contrainte de faire usage de son arme. Elle atteignit enfin l'immeuble délabré qu'elle cherchait. Elle vérifia que personne ne l'avait suivie avant de frapper à la porte. Mihai, un barbu à la carrure massive atteint de lycanthropie, entrouvrit la porte. Il la toisa avec méfiance jusqu'à la reconnaître puis la laissa entrer avec un bref salut de la tête. Après avoir fermé la porte derrière elle, Cornelia abaissa son châle et gravit les escaliers délabrés. Revenir dans ce refuge clandestin était folie, mais il fallait qu'elle le voit, qu'elle s'assure qu'il allait bien. Arrivée sur le premier pallier elle fut accueillie par une jeune lamia qu'elle avait elle-même amenée ici il y a quelques années. Cette dernière la guida jusqu'à une pièce exigue dans laquelle une vieille femme s'occupait de quelques enfants. Ils étaient assis par terre à tendre l'oreille avec la mine effrayée pour écouter les hurlements de la foule dans la rue en contrebas.
A son arrivée dans la pièce la vieillarde attira l'attention de l'un des enfants qui se leva et se tourna vers Cornelia. « Mama ? » Le cœur de la jeune femme se serra. Plus d'un an qu'elle n'avait pas vu son enfant. Elle approcha lentement de lui pour s'accroupir à sa hauteur et prendre son visage dans ses mains. « Oh mon petit, mon tout petit... » souffla-t-elle d'une voix empreinte d'émotion. Une série de coups de feu retenti soudain à l'extérieur, faisant sursauter tout le monde dans le bâtiment. Le gosse pointa un doigt accusateur sur la vieille femme. « Elle veut pas nous dire pourquoi ils font la guerre dehors. » Cornelia pinça les lèvres et réfléchit au meilleur moyen d'expliquer ça à un enfant de sept ans. « Le Tovarășul Ceausescu il a... il a décidé des choses qui sont mal, alors les gens ne sont pas contents. » L'enfant fronça les sourcils, l'explication ne lui suffisait pas. « Il opprime les gens, il les oblige à subir des choses horribles et il punit ceux qui protestent. Sauf que les gens deviennent fous quand ils sont privés de leur libre-arbitre. Ce n'est pas dans l'ordre des choses. Si le Tovarășul continue comme ça le peuple va se révolter pour de bon et ils l'empêcheront de continuer. » Le gamin pencha la tête d'un air pensif tandis qu'il assimilait toutes ces informations. « Mais comment ? Comment ils vont l'empêcher ? » Cornelia laissa planer un long silence avant de lui répondre d'une voix sinistre. « Ils vont le tuer, mon chéri. Il va mourir. » Elle avait articulé chacun des mots pour qu'ils se gravent profondément dans l'esprit de l'enfant. La vieillarde émit un grognement désapprobateur, visiblement peu enchantée à l'idée de parler de la sorte devant des enfants. Cela ne plaisait pas non plus à Cornelia mais c'était important qu'il comprenne maintenant. « Mais... c'est mal ? » Sa mère secoua la tête. « C'est la seule chose qui peut arriver aux gens comme lui. C'est la seule chose que méritent ceux qui oppressent. Le peuple va beaucoup souffrir pour y parvenir, mais aucun sacrifice n'est trop grand pour défendre la liberté. Libertatea vine primul. La liberté avant tout. C'est la chose la plus importante. Est-ce que tu comprends ? Réponds-moi. » Le gamin qui n'en menait pas large hocha faiblement la tête devant le regard dur de sa mère. Peut-être était-il trop jeune aujourd'hui mais un jour, un jour il comprendra l'importance de ces paroles. « Tu vas rester avec nous ? » Elle le regarda avec peine. Qu'elle aurait aimé rester, ne plus jamais partir. Mais c'était impossible. Son combat passait avant tout, même avant le fruit de ses entrailles. Elle secoua la tête avec tristesse avant de le serrer contre elle. Je ne peux pas... pas encore... » Et peut-être jamais. « Mais tu n'as pas besoin de moi. C'est mieux si je ne suis pas là. Tu deviendras plus fort. » Elle le libéra de son étreinte et se releva. Avec un salut solennel à la vieillarde elle remit son châle en place et tourna les talons sans se retourner. Une révolution l'attendait.
A travers la fine porte de bois, Sekhmet entendait des rires et des éclats de voix. Elle n'avait pas besoin de connaître un seul mot de Roumain pour comprendre qu'ils n'étaient pas sur leurs gardes. L'ordre l'avait envoyée enquêter sur un important réseau de trafic : Une branche de la mafia roumaine enlevait et exploitait des créatures magiques dans le but de créer de nouvelles drogues. Après des mois à suivre des pistes toutes plus froides les unes que les autres elle avait finalement réussi à trouver quelque chose de prometteur. Derrière cette porte se trouvait – elle l'espérait – un grand ponte parmi les criminels du pays, celui-là même qui était derrière tout ça. Il y avait juste un problème : elle était seule et au vu du nombre de voix ils étaient relativement nombreux. Elle aurait aimé pouvoir demander du renfort, mais cette occasion était trop belle pour la laisser passer. Le risque en valait la chandelle. Demain ils auraient changé de repaire et elle devrait tout recommencer. Au moins elle avait toujours l'effet de surprise et l'entraînement des chevaliers avec elle. Elle prit une grande inspiration et défonça la porte, serrant fort son pistolet.
La pièce obscure empestait le tabac et des volutes de fumée flottaient dans les airs. Quatre hommes qui buvaient en jouant aux cartes, leurs armes posées négligemment sur la table, regardaient la nouvelle arrivante interdits et bouche-bée. L'un d'entre eux cria quelque chose en Roumain et se saisit précipitamment de son arme... mais c'était déjà trop tard pour lui. Sekhmet tira et il s'effondra sans plus de cérémonie. Un deuxième homme la braqua de son arme mais il subit le même sort que son compère. Le troisième en revanche fut plus rapide. Quand il pointa son arme sur la chevalier, elle sut qu'elle n'aurait pas le temps de l'arrêter. Elle ferma les yeux dans l'anticipation du coup de feu.
PAN. Le bruit lui vrilla les oreilles mais elle ne sentit aucune balle traverser sa chair. Avait-il raté son coup ? Elle rouvrit les yeux pour constater à son grand désarroi que son assaillant gisait par terre, une balle dans le crâne. C'était le quatrième homme qui avait tiré. Il était resté assis calmement et avait simplement pointé son arme vers son compagnon. Sekhmet cligna des yeux derrière son masque, interloquée. Son sauveur était tout jeune, il devait être dans le début de la vingtaine. Un gosse, rien qu'un gosse. L'Égyptienne pointait son arme sur lui mais il ne semblait pas s'en émouvoir particulièrement, il se contentait de la regarder avec un sourire aimable. Il lui demanda quelque chose en Roumain. Sekhmet secoua la tête, avalant sa salive pour retrouver la parole. « Je ne comprends pas. » articula-t-elle en anglais. Le mafieux haussa les sourcils. « Pas tuer moi s'il te plaît. Tiens, voilà mon arme. Tu avoir eu beaucoup chaud. » Son anglais était désastreux et il massacrait les mots avec son accent très prononcé, ce qui rendait très difficile la compréhension. Mais au moins pouvaient-ils communiquer. Elle baissa son pistolet quand il fit glisser le sien au sol jusqu'à ses pieds. « Pourquoi tu as fait ça ? » Son interlocuteur haussa les épaules. « Pourritures. Oppresseurs. Ils obligeaient moi à faire du mal. Je content qu'eux ils sont morts. » Il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond chez ce garçon. Il venait d'abattre un homme de sang froid et semblait aussi ému qu'après avoir fait sa grosse comission. Sekhmet examina les trois cadavres au sol. Aucun ne correspondait à la description de sa cible. « Tu cherchais le Boss ? Lui parti il y a deux semaines. » Elle se tourna brusquement vers le jeune Roumain. « Où ? » Il haussa les épaules. Et merde. Tout ça pour rien. « Je perds mon temps. » Sekhmet tourna les talons en soupirant. « Attends ! Je peux aider ! » La voix du jeune homme se faisait presque implorante. « Je connaître toutes les créatures de la ville. Je connaître gens utiles. Ou je peux infiltrer pour toi ! Je suis bon infiltreur. » L'Égyptienne se retourna vers lui en croisant les bras. Il semblait bien pressé de lui venir en aide. « Pourquoi tu ferais tout ça ? Qu'est-ce que tu veux en échange ? » Le mafieux lui offrit de nouveau un franc sourire. « J'ai déjà dis : Pourritures. Oppresseurs. Je veux juste faire le bien. » Sekhmet hésitait. Accepter son aide pouvait s'avérer risqué mais d'un autre côté ce type était probablement sa meilleure piste. Et puis il y avait quelque chose chez lui, dans son regard, sa façon de parler... il semblait... sincère, complètement, entièrement. Il n'y avait pas de haine dans ses yeux, pas d'amertume, pas de malice. « Comment tu t'appelles ? » Il se leva et s'avança vers elle. Elle eut un mouvement de recul, prête à toute éventualité, mais il se contenta de tendre sa main, toujours avec son grand sourire. « Vlad. Vlad Seară. »
Il leur avait fallu près d'un an et demi pour parvenir à leurs fins. Mais enfin, la semaine dernière, le réseau de trafic de créatures magiques qui sévissait en Roumanie avait été complètement démantelé. Tout ça grâce à elle et son protégé. C'est lui qu'elle allait voir ce soir, elle avait une bonne nouvelle à lui annoncer. Si elle s'était un peu méfié de Vlad au début, elle avait vite compris ce qu'il était vraiment : un pauvre oisillon tombé du nid, désespérément à la recherche d'une raison d'être. Avant même qu'elle ne le réalise, elle l'avait pris sous son aile. Il lui manquait définitivement une case : il semblait toujours heureux, en toute circonstances, et il montrait d'inquiétantes facilités pour tuer. Mais malgré tout c'était une belle âme, il se souciait réellement du sort des gens et peut-être plus encore de celui des créatures magiques. Il avait infiltré la mafia pour elle, il avait été ses yeux et ses oreilles et en quelques occasions et s'était même quelques fois sali les mains à sa place. Il n'a jamais rien demandé en retour, il semblait juste heureux d'aider à éradiquer ce mal. Mais ce soir il recevrait sa récompense. Ce soir, Sekhmet lui offrirait une nouvelle raison d'être.
Vlad se leva précipitamment quand sa mentor foula le seuil de la maison abandonnée qui lui servait de planque. « Tu es revenue ? Je m'attendais à moitié à ce que tu disparaisses sans prévenir maintenant que tu en as fini ici. » Sekhmet sourit. En l'espace d'un an et demi le jeune homme avait fait des progrès impressionnants en anglais, même s'il avait toujours cet accent à couper au couteau. « Il me restait quelque chose à faire avant. » Elle lui tendit une enveloppe et attendit patiemment qu'il l'ouvre et en lise le contenu.
Quand il eut fini sa lecture, Vlad resta sans voix. Il la regarda d'un air incrédule. Elle ne put s'empêcher de rire en voyant sa tête. « Vlad Seară, l'ordre des Chevaliers de l'Aube serait heureux de t'accueillir en son sein – si tu acceptes bien sûr. » Il fronça les sourcils, jouant les indécis, mais ses yeux brillaient comme des étoiles. « Est-ce que... j'aurais le droit d'avoir une cape ? Et un masque ? Et un alias ?» La femme hocha la tête avec une solennité feinte. C'en était trop pour Vlad qui laissa exploser toute sa joie. Il sauta dans tous les sens en hurlant. « DA ! DAAAAA HAHAHAHA ! Je vais me faire appeler Zeus ! Non... Fracassor ! Ou Johnny La Bagarre ! Oh non je SAIS ! Razer ! Je sais pas c'que ça veut dire mais ça sonne super bien ! »
Dans les rues désertes de Perth, un homme d'environ la cinquantaine aux vêtements usés essayait désepérement de fuir dans la nuit. Il courait à en perdre haleine à travers les rues désertes. L'autre était toujours sur ses talons, l'homme le savait. Ce foutu chevalier était une bête acharnée. Pendant deux mois il l'avait traqué sans relâches. Il avait éloigné toutes les fausses pistes, déjoué tous ses pièges et l'avait retrouvé dans toutes ses planques. Il était différent de tous les néophytes qui l'avaient pourchassé jusqu'à présent. Pourquoi tenait-il tant à lui pourrir la vie ? L'homme prit un tournant, couru quelque mètres et se retrouva face à... un cul-de-sac. Sérieusement ? Un cul-de-sac ? Quel cliché...
Quelques secondes plus tard les pas de son poursuivant résonnèrent dans l'allée. Il rejoint l'homme peu après et s'arrêta devant lui complètement essoufflé. Il s'appuya contre le mur pour reprendre son souffle en respirant bruyamment. « Haaa... ha... wouh ! Faut vraiment que j'arrête de fumer... Un peu plus et je faisais une syncope. Oh... ça va pas... non ça va pas... j'crois que j'vais gerber... » L'homme lui jeta un regard interdit de ses yeux rouges incandescents. C'était cet espèce de bouffon qui avait réussi à le mettre dos au mur ? « Pourquoi ? Pourquoi vous autres vous ne pouvez pas juste me laisser vivre, bon sang ? » Le chevalier haussa les épaules avec un sourire désolé alors qu'il se redressait en pointant son arme sur la créature. « C'est l'boulot. Et puis t'es pas très sympa toi non plus. Bouffer des humains c'est pas cool, mon pote. » L'homme acculé plissa les yeux. « Il faut bien se nourrir. » répliqua-t-il sèchement. « Ca tombe bien, au sanctuaire tu pourras bouffer autant qu'tu veux sans que personne te fasse chier ! Tu verras, la vie est belle là-bas. Mais j'suis pas là pour discuter. C'est l'moment où tu choisis : tu me suis gentiment ou tu continues à faire l'enfant, mais dans c'cas j'vais devoir te faire mal. » La panique commença à gagner la créature tandis que la réalité de sa situation faisait son chemin dans son cerveau. « Non attends, tu ne comprends pas ! Pitié ne m'envoie pas là-bas, je ne pourrais pas le supporter ! C'est pire que la mort pour moi ! » Était-ce une lueur d'hésitation qu'il croyait déceler dans les yeux de l'impitoyable chevalier ? La créature vit là une chance de s'en sortir. Elle tomba à genou la mine suppliante et les larmes aux yeux. « Laisse-moi partir, vous n'entendrez plus jamais parler de moi, je le jure ! Je... je me ferais discret, je ne mangerais que le strict nécessaire, je resterais loin des villes ! Pitié... pitié... pitiépitiépitié ! » Il avait si peur qu'il n'avait presque pas besoin d'en rajouter. Son bourreau resta longuement immobile, arme pointée. La créature était prête à lancer une attaque désespérée au moindre mouvement de ce dernier, quitte à en mourir. Mieux valait ça que l'enfermement. Elle fixa le chevalier droit dans les yeux avec détermination.
Novembre 2017 – Old Fyre
« Eh... ça t'arrives jamais de te d'mander si on faisait les choses comme il faut ? » Dima, qui fixait sa bouteille de vodka pensivement, tourna lourdement la tête vers son compagnon de beuverie. « Hein ? Qu'est-ce tu m'racontes encore ? » Vlad haussa les épaules et porta sa propre bouteille à ses lèvres. « J'sais pas, je m'interroge. C'est bien les sanctuaires et tout ça, hein. Mais d'un côté... qu'est-ce qui nous donne le droit d'y fourrer toutes les créatures qu'on juge dangereuses ? On s'dit que c'est pour leur bien, mais dans l'fond qu'est-ce qu'on en sait ? Est-ce que c'est pas aller à l'encontre de la nature ? » Dima se massa les tempes avec exaspération. Quand son ami avait un coup dans le nez, il partait toujours dans des débats philosophiques complètement perchés. Il poussa un long, très long soupir. « Tu t'poses trop d'questions. » Vlad fit une moue pensive avant de reprendre une gorgée. « Sinon, tu t'es jamais demandé pourquoi on dit toujours que les roux n'ont pas d'âme ? » Le Russe frappa l'épaule de son compère avec impatience. « Oh mais tais-toi et bois ! » Vlad poussa un rire léger avant d'obtempérer. Ils restèrent là un moment à boire en silence avant que Dima ne reprenne la parole. « Au fait, tu m'as toujours pas raconté ta dernière mission. T'es pas revenu avec la bestiole, il lui est arrivé quoi ? » Les lèvres du Roumain s'élargirent en un sourire énigmatique. « Libertatea vine primul. » « ...Hein ? Raaah j'déteste quand tu fais ça ! Tu me gonfles avec ta langue pourrie ! Est-ce que j'te parle en Russe moi ? » Vlad éclata d'un rire tonitruant. « Ca veut dire tais-toi et bois ! » dit-il en enfournant de force le goulot de sa bouteille dans le bec de Dima. « GRBLBLBLBL ! »
Lun 8 Oct - 11:49
Admin
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le narrateur
Voilà qui était très multimodal !
J’aime beaucoup l’arrière-plan mafieux, bien ficelé avec le contexte historique d’ailleurs. En général, je trouve qu’on parle trop peu des organisations autres, des gouvernements et des mafias dans le contexte. C’était une bonne idée, et ça donne le ton au personnage de surcroit.
Je n’ai rien à redire, mais peut-être une petite précision : garde en tête que s’il parle souvent de ses idées libérales, même au bar et bourré, il va finir par se faire rencontrer par le capitaine. Normalement, après un petit discours fort éloquent, ça devrait bien passer. Ils sont chiants, mais pas méchants. Certains collègues vont peut-être le regarder de travers aussi ; sur le plan du développement du personnage et des liens, ça peut être aussi bien comme ça, du coup ! Du coup, je te valide sans plus. Je vais de ce pas ajouter Vlad aux chevaliers. De ton côté, tu peux publier le code ci-dessous dans la section des dossiers !
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