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[X] À trop chercher le loup...

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Sam 27 Juil - 13:58

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Habitation permanente : Avec Tullio et V.
Elana Cavaleri

Elana Cavaleri
    Je lui effleure les côtes pour attirer son attention. C'est un jeu de poursuite que je lui propose, mais sait-il qu'il en est la souris ? Il abandonne son groupe, sûrement sur une excuse particulièrement peu subtile. Il me suit, je l'entends chantonner mon nom dans les couloirs. Il me rattrape, m'attire à lui. Il croit qu'il a gagné. La partie ne fait que commencer. Je l'embrasse, il me répond. Des papillons s'éveillent dans mon ventre.

    C’était après avoir attrapé plusieurs fois son regard que j’avais commencé à m’intéresser à lui. Parfois, il détournait ses yeux coruscants dans la seconde. Parfois, il attendait de capter les miens avant de se détourner. J’aimais ce jeu. J’ai posé des questions. « Attention, c’est un tombeur, à elle il lui a brisé le cœur. » Je n’avais pas l’intention de mettre mon cœur dans la balance. « Tu es nouvelle, c’est du challenge pour lui. » Mais, il était nouveau lui aussi, du moins pour moi. Alors, j’avais décidé de relever le défi. Il avait essayé d’être impavide lorsque je m’étais assise à côté de lui en TD mais j’avais bien vu qu’il était surpris. Il était drôle. Cute and funny. Alliciant même. Il n’avait pas fallu longtemps avant qu’on ne s’embrasse. Meilleur échange linguistique depuis mon arrivée. J’étais déjà sortie avec des mecs au collège mais à part de légers ‘smacks’ et des mains tenues, clairement rien n’avait atteint ce niveau de proximité. Autant dire que ça devenait vraiment intéressant. Et maintenant ? J’en voulais plus. Son contact réveillait quelque chose en moi, quelque chose que je découvrais seulement et qui agitait mon imagination ubéreuse.

    Ses doigts jouent avec les petits cheveux de ma nuque et me donnent des frissons. Les miens se pressent dans son dos avant d’aller se cacher dans ses poches arrières. Je l’embrasse encore. C’est chaud et agréable. Je veux retrouver ce que nous cherchions hier. Ses mains avaient attrapé mes hanches, nos baisers s’étaient faits pressants, quelque chose avait grandi, enflé entre nous et… La voix de Tullio avait résonné sur le parking presque vide. Pour la première fois, je commençais à entrevoir les désavantages d’avoir un grand frère, et un grand frère grand. Alors qu’il s’approchait de nous à grandes enjambées, sa silhouette semblait doubler en taille. J’avais eu peur qu’il s’en effraie. Mais au lieu de reculer, de chercher des excuses, ses mains quittèrent juste l’élastique de ma jupe et la remirent droite. Et s’il s’effaça sous le discours de Tullio - « Blablabla pas dans l’enceinte de l’établissement, blablabla bas les pattes jeune homme, blablabla pas honte jeune fille... » -  son sourire rejaillit dès que j’emboîtais le pas à Tullio pour rejoindre la voiture. Et alors que nous rentrions, je n’avais qu’une envie : recommencer.

    Et nous recommençons. Ses mains retrouvent mes hanches, je me presse contre lui. Il me pousse contre une porte qui s’ouvre sans résistance, dévoilant les toilettes des mecs. Peu glamour mais plus calme que celles de mes congénères. Je m’apprête à faire un commentaire mais il me soulève jusqu’aux vasques et seul un léger cri surpris m’échappe. « Pas de grand frère pour te sauver cette fois ‘jeune fille’. » Je ris. Il oublie qu’il est ma proie et non l’inverse. « Où en étions-nous déjà ? » minaudé-je en le repoussant. Son souffle chaud caresse ma tempe, ses mains cajolent la naissance de mes seins à travers le tissu de ma chemise. Je reprends le contrôle. Mes mains attaquent les boutons tavelés de sa chemise, un par un, lentement, déposant un baiser sur chaque centimètre de peau dévoilée. Il se grandit quand j'arrive au dernier et j'effleure son pantalon. Un énième bouton saute.
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Ven 16 Aoû - 5:24

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Occupation : Photographe - Grand méchant loup
Nawar Nasri

Nawar Nasri
Je regardai passer les derniers retardataires dans les couloirs, m'amusant à leur lancer un regard faussement noir et réprobateur. J'aimais à jouer ce rôle de méchant, peut-être un peu pour dissimuler mon affection pour ces gamins, et peut-être aussi un peu pour contenter la Bête. C'était drôle comme ici les priorités concernant les élèves différaient de mon pays, et comme j'avais parfois un peu de mal à suivre correctement les mœurs, je m'obstinais à durcir certains traits et à choisir des voies qui n'étaient probablement pas très approuvées par d'autres. Mais peu m'importait  d'être bien vu ou non – ce n'était pas là le cœur de ma mission - tant que ces enfants étaient en sécurité, même sommaire, cela me suffisait. Et il y avait à faire en matière de sécurité compte tenu des découvertes macabres que les autres chevaliers avaient faites.

Ah, les autres chevaliers... Je m'en tenais souvent éloigné pour tout un tas de raisons, inimitié avec certains, divergences d'opinions ou de centre d'intérêt trop fort pour d'autres. Et puis, il y avait Victoria . Au tout début de la mission, ma crainte de la voir y participer s'était vite converti en réalité, et je m'étais alors appliqué à l'éviter soigneusement. Trop compliqué, trop de culpabilité, trop de honte, trop de désir aussi, pour pouvoir la revoir... Trop dur de se confronter à ce que Je lui avais fait...

Alors je me concentrais sur ces ados que beaucoup ne pouvaient plus supporter. Je les supportais largement Moi, et la facilité que j'avais à le faire me confortait dans l'idée de récupérer un jour ma fille. Évidemment, il n'y avait pas la même charge affective avec ces jeunes, mais...

Des bruits de pas discrets dans un des couloirs me sortirent des mes pensées. Ils étaient deux à priori, discrets mais pas suffisamment pour se soustraire à mon ouïe hors norme. Je décidai alors de me diriger vers les deux courageux qui osaient braver l'interdiction de traîner dans les couloirs pendant les heures de classe, amusé par avance. Puis, de petits rires étouffés suivis de sons de baisers échangés me firent sourire encore davantage ; c'était beau les amours de jeunesse, et encore plus beau de les contrarier, car dans l'adversité imposée par le monde des adultes, la passion juvénile n'en était que plus forte.

Mes pas me conduisirent bientôt devant la porte des toilettes des garçons. Vraiment très glamour... Refoulant quelques souvenirs plaisants de mes années d'étudiants que cette situation me rappelait, je poussai la porte sans m'encombrer d'avertissements. Les deux adolescents se figèrent instantanément dans une position plus qu'équivoque. Au moins, ils ont les mains au chaud...  Je reconnu facilement le jeune garçon, un « tombeur » invétéré que j'avais déjà repris maintes et maintes fois pour des comportements similaires dans les couloirs ou dans d'autres endroits insolites que seuls les adolescents savent se trouver. Je souris à l'idée de l'avoir de nouveau contrarié dans ses projets. Quant à la fille... une nouvelle élève, arrivée de l'étranger. Comment déjà ? Ah oui, Elana. Elana Cavaleri.  Je m'assombris tout à coup, car j'avais depuis longtemps fais le lien entre Tullio et cette jeune fille – certains signes ne trompent pas - et je ne pouvais pas me comporter avec elle de la même manière qu'avec une adolescente lambda ; au moindre impair, je m'attirerais les foudres du barman aux cheveux bleus, et par ricochet, celles de Victoria. Comment dire que je n'avais pas spécialement envie de me retrouver face à elle, et surtout pour régler une simple histoire d'amourette.

« Tiens tiens, monsieur Anderson... Encore en train de batifoler, ça devient une habitude. Mais là tu fais fort, grand standing que les toilettes des mecs ! Vraiment bravo ! File, et je ne veux plus entendre parler de toi de la semaine, à moins que tu ne veuilles que l'on ne contacte encore tes parents.  »

Le jeune homme resta encore figé quelques instants, comme si l'information avait du mal à remonter vers son cerveau envahi d'hormones, puis il reboutonna son pantalon et s'effaça rapidement, non sans envoyer des œillades énamourées à sa belle italienne. C'était follement amusant et je dus me concentrer afin de garder mon sérieux et pouvoir appuyer sa dérobade d'un regard hautement réprobateur.

« Quant à toi...  dis-je en me tournant vers la jeune femme, travaux d'intérêt général ! Et tout de suite. Et tes "chaperons" n'en sauront jamais rien. Ça te semble correct ?  » Question purement rhétorique car, en vérité, je ne lui laissais pas le choix de refuser mon offre, j'avais trop intérêt à rester éloigné de la branche rital de l'ordre.

La laissant à peine réagir, je lui proposai de nettoyer de fond en comble l'endroit, puisqu'il semblait tellement lui plaire, tandis que je la surveillerai en me roulant les pouces. Je ne savais pas si elle se montrerait reconnaissante pour ce faux geste de clémence, ou au contraire rebelle et peu magnanime, mais j'étais disposé à réagir en conséquence. Ce n'était qu'une adolescente après tout.
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Jeu 22 Aoû - 14:00

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Habitation permanente : Avec Tullio et V.
Elana Cavaleri

Elana Cavaleri
    Les doigts d’une de ses mains pianotent sur mes hanches et jouent avec l’élastique de ma jupe pendant que la deuxième remonte lentement sous les plis de cette dernière. Je frémis à leur chaleur qui contraste avec la froideur des vasques. Il m’embrasse à nouveau et d’un mouvement sec, me rapproche de lui, facilitant ma propre intrusion dans son pantalon.

    La porte s’ouvre brusquement. Son visage enfoui dans mon cou me bloque la vue et il me faut reculer pour distinguer un grand homme qui nous regarde avec un sourire moqueur. Son visage m’est familier, en dehors du fait qu’il s’agisse du surveillant/homme à tout faire de l’établissement, mais il me faut un moment avant de réussir à faire correspondre ses traits digne d’un personnage des Mille et une nuits à une des photographies des dossiers de V. Il est des nôtres. Et c’est peut-être parce qu’il me reconnaît lui aussi que, de triomphe – quelle bassesse de s’amuser ainsi de contrarier mes amours – ses traits se dissolvent dans une expression plus maussade.

    Il expédie le cas de ma proie en quelques secondes, d’une vague menace qui ne sera jamais prise au sérieux. Quelque part, il serait drôle qu’il retombe sur nous plus tard, mais si je veux parvenir à mes fins, il est désormais clair que je vais devoir éviter le lycée. Je capture une dernière œillade avant qu’il ne disparaisse et me voilà à attendre mon jugement. Tout ceci remontera-t-il aux oreilles de Tullio ? Mais lorsqu’il tombe, ce n’est pas ce qui me préoccupe le plus.

    « Mi scusi ? Monsieur s’en sort avec un vague avertissement et moi, je vais devoir récurer les chiottes, des mecs qui plus est ? Gross ! »

    C’est évidemment hors de question, même si Nasri - son nom refait surface dans ma mémoire – semble plutôt convaincu du contraire car il commence à énumérer la liste des tâches qu’il a l’intention de me faire faire. Pense-t-il que j’ai peur à ce point de représailles de mes tuteurs ? V. est une incorrigible dragueuse et Tullio… est un peu le mystère de cette équation. Je n’ai pas su jauger la dernière fois s’il risquait d’être du genre grand frère possessif mais le Turc n’a clairement pas besoin de savoir ça. Je descends des vasques, remonte ma culotte d’un geste vif et me plante devant lui les bras croisés sur la poitrine.

    « Vous ne trouvez pas que c’est un peu sexiste comme punition ? L’homme a le droit d’avoir une libido, parfait, il est excusé, à condition qu’il se fasse discret pour quelques heures, mais la femme, elle, cette catin, qu’on la châtie ! Honte à elle de ressentir plaisirs et volupté, la garce ! »

    Mais ma tirade ne semble lui tirer aucune compassion, provoquant même la remontée d’un vague sourire narquois. Il sait qui je suis, c’est définitif. Il se venge sur moi de quelque chose dont je ne sais rien. Peut-être une histoire avec V. Ou Tullio a blessé son orgueil… Plus plausible que ce soit en rapport avec V. Je le détaille avidement en attendant qu’il me tende balai et serpillière. Ses mains sont comme brûlées et des marques se dévoilent parfois, proches des clavicules, aux mouvements de son uniforme. Il est définitivement beau gosse, d’une beauté orientale rehaussée d’un passé intriguant. Il y a quelque chose d’animal dans son regard. Je frissonne, mes élans libidineux pas encore suffisamment diffus. Ok. Définitivement V.

    Tout dans sa posture m’indique que je ne sortirais pas d’ici sans avoir briquer un siège de porcelaine. Ou deux. J’attrape rageusement le manche qu’il me tend en le fusillant du regard et file vers la dernière cabine. Ce n’est pas tant pour m’éviter une conversation sur le sexe et son inadéquation dans les locaux de mon lycée que pour éviter de voir Victoria que Nasri me piège ici. Aux dernières nouvelles, je suis encore l’adolescente des deux dans cette pièce, mais manifestement, il n’en fait pas grand cas.

    « J’y suis pour rien moi si elle vous a laissé tomber, vous savez. Elle n’aime pas vraiment les attaches… C’est vos histoires, réglez ça entre vous. »

    Je commence à frotter avec plus ou moins d’attention le sol, juste histoire de donner l’impression de faire quelque chose, alors que mes yeux en profitent pour faire le tour rapide d’une des rares pièces où je ne suis pas censée mettre les pieds.

    « Vous pourriez peut-être juste me laisser filer moi aussi, non ? Personne n’a réellement besoin de savoir ce qui s’est passé ici…Ni que j’expérimente ma libido, ni que vous avez du mal à passer à autre chose et que vous vous vengez sur une adolescente en abusant de votre position d’adulte. »
Action : Inspecter les toilettes des garçons.
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Jeu 29 Aoû - 23:21

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le narrateur

le narrateur


La salle est bleue et blanche, propres, mais tâchés par des années de jeunes hommes qui n’ont pas trouvé mieux que de barbouiller sur les murs.

Vous inspectez les toilettes des garçons :

Au final, c’est caché dans le distributeur à papier que vous trouverez le dixième mystérieux fragment de poterie.  

La dalle est maintenant presque entièrement reconstituée, ce qui permet d’affirmer avec certitude qu’il manque exactement deux pièces pour terminer le puzzle !  

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Mar 22 Oct - 5:39

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Nawar Nasri

Nawar Nasri
La petite tirade de la jeune fille me tira un sourire à la fois amusé et amer. Ce n'était pas complètement dénué de sens dans l'absolu, mais complètement à côté de la plaque le cas échéant : fille ou garçon, l'important pour moi était de me tenir à l'écart de la branche italienne des chevaliers, et non d'assouvir une quelconque domination masculine ou je ne sais quoi. Moi, j'aimais les femmes pour ce qu'elles étaient, je vouais une adoration pour les femmes fortes et libérées autant que pour celles pleine de fragilité. Je n'étais pas homme à les mépriser, j'étais plutôt homme à se laisser tomber entre leur filet et à en redemander... Mais euh, pourquoi j'essaie de me justifier moi ? Peut importe, au fond, qu'elle te prennes pour un macho espèce d'idiot... T'es pas là pour qu'elle t'apprécie, t'es là pour sauver vos fesses.

Alors, plutôt que de tenter vainement de me disculper de son accusation, je décidai au contraire d'en remettre une couche tandis que je lui présentais le manche d'une serpillière : « Estime-toi heureuse que cela se passe ici. Dans mon pays, ce n'est pas qu'un peu de ménage dont tu aurais écopé pour ton attitude, tu peux me croire... »

Mission accomplie : elle attrapa le manche avec une rage non dissimulée et me gratifia d'un regard qui en disait long sur son ressentiment à mon encontre avant de s'éloigner sans entrain vers la cabine du fond. Désolé... Ou pas vraiment en fait, je ne savais plus trop. Fichue Bête...

« J’y suis pour rien moi si elle vous a laissé tomber, vous savez. Elle n’aime pas vraiment les attaches… C’est vos histoires, réglez ça entre vous. »

Hein ? Mais de quoi elle parle là ? Tout à coup, l'évidence de la réponse vient me heurter de plein fouet : Victoria, évidemment... L'innocence relative de l'adolescente m'émeut presque, car s'il y avait bien un différent entre moi et la chevalière, il était bien plus grave qu'une simple peine de cœur. Je me refermai un peu plus, tentant d'afficher un masque de sérénité alors que je bouillonnais littéralement de honte. De peine aussi. J'espérai simplement qu'elle prenne mon silence comme un aveux, ou du moins, le signe qu'elle avait tapé juste.

Et cela marchait apparemment, car elle tenta à nouveau de négocier sa libération, invoquant cette fois la non-légitimité de se venger sur elle pour une affaire de cœur.. ou bien de cul. Décidément, quelle imagination !

« On ne peut rien te cacher... Tiens, vérifie qu'il y a encore du papier » suis-je parvenu à répondre sans perdre mon masque de sérénité machiste.

Devant l'inconfort que devenait cette situation, j'en venais à sérieusement envisager l'option de laisser sortir ce moulin à paroles, lorsqu'elle se tut soudainement. Sans attendre mon reste, je me précipitai à ses côtés. L'adolescente tenait entre ses mains un bout de poterie, identique aux autres morceaux que l'Ordre avait déjà découvert disséminés un peu partout dans l'établissement. Et je me demandais à présent comment lui expliquer cela d’une part, et comment le faire passer de ses mains aux miennes avant la fin de sa « punition ». Misant sur sa curiosité notoire, j'imaginai sans peine qu'elle en savait suffisamment sur l’Ordre et sa mission dans l’école pour pouvoir en parler sans détours.

« Oh… Eh bien celui qui les a dispersé ne manque pas d’imagination... Tu... tu as déjà vu les autres j’imagine ? »

J’espérai à présent que j’avais fait le bon choix, ou sinon… Oh, je ne préférais même pas y penser !
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